Un courrier féministe dont on peut douter de l’authenticité tant tout y est caricatural... Ou pas !
Un courrier féministe dont on peut douter de l’authenticité tant tout y est caricatural... Ou pas !
RDP | Octobre 2021 |42 | SociétéSociologie |
Comme Stéphane Édouard, lisez Histoire des femmes de Maurice Bardèche !
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Si le début est assez quelconque, vers la fin c’est carrément déroutant. Le mec a absolument toutes les qualités du "prince charmant" pour la femme dite "moderne" mais aussi de n’importe quelle femme (à la fois viril, tendre et rassurant) et non... il se fait accusé de penser voire même d’avoir agi en violeur !!! C’est dur de ne pas penser en écoutant cela que le féminisme a détraqué la plupart des cerveaux des femmes... un chaos presque...
Les femmes aujourd’hui sont incapables de reconnaître les hommes biens (attention je n’affirme pas que le type de l’histoire soit quelqu’un de réellement bien, en tout cas il en a les traits... de la part de sa propre accusatrice !).
Ne vous inquiété pas on assiste maintenant à une explosion d’incels chez les femmes, retour du bâton.
Ne confondez pas les parisiennes avec "les femmes" !
Encore un chevalier blanc qui croit que les femmes occidentales ont besoin d’être des parisiennes pour être imbuvables et égoïstes. C’est quoi votre problème ? Le déni ?
Mandark > je ne vois pas en quoi je "confonds"... croire que le féminisme épargne les femmes "provinciales" et que ces dernières sont restées plus "pures" que les "parisiennes" me semblent être un déni profond de certaines réalités...
La différence est plutôt entre les féministes des gros centres urbains, avec un certain niveau de vie (grisées par les portes de la domination sociale qui s’ouvrent), et puis les autres. Ces derniéres, qui n’y ont pas forcément accès, répètent les slogans sans y croire, et cherchent encore des hommes sûrs.
Mais j’ai l’impression qu’on mélange un peu dans l’analyse les effets temporaires du féminisme et l’archétype de la femme éternelle (soumis à l’examen des mâles piqués dans leur orgueil). Je demande assez aux femmes d’accepter l’homme tel qu’il est car son être ne peut (ne doit) pas changer, pour ne pas me parjurer en leur reprochant d’être ce qu’elles sont.
Pour mettre tout le monde d ’accord : les parisiennes sont imbuvables et hautaines et les provinciales n ’ont pas plus grand soucis que de les imiter ? La femmes d ’ailleurs imite la femme , celle qu ’elles juge supérieure à elle : plus belle plus d ’allure , plus d ’esprit , plus affirmée ( elles sont si pétries de complexes sous leurs grands airs ) ; et là regardez comme elles font leur chatte , s ’abaissent , s ’ humilient et leur font une cour des plus soumises , se prosternent , s ’offrent , lesbiennes qu ’elles sont toutes .La séduction a toujours été plus ou moins des femmes vis - vis des femmes question aussi de rivalité . On demandait un jour à Brigitte Bardot ce qu ’elle regardait en premier chez un homme ; la star ,qui est pleine d ’esprit et de sincérité : du tac au tac " sa femme ! ".
Oui les "provinciales" répètent sans trop y croire...
Mais il n’empêche que la plus part sont tout de même pollués par cette pensée délirante.
Quand surviendra une quelconque crise (d’égo ou sinon le "mur") tout partira à vau-l’eau.
Merci mais toutes les femmes ne sont pas cette morue ! De temps en temps il nous en descend de ce spécimen en province bien profonde où les gens ont encore un peu de discernement et de savoir vivre. Du calme j’ai dit un peu.
Chez moi, pas de hautes études, une pas très très grande culture, et un savoir scolaire limité (quitté l’école républicaine en 5ème, puis ans de CFA il y’a très longtemps _les années 80) zéro sociologie
Et bien j’appelais ça une salope, qui aime se faire baiser comme une chienne et qui une fois son désir assouvi,se la joue princesse cultivée et de bonne famille,prude et sage
C’est toute la skizophrénie du cerveau féminin
Pas besoin d’être sociologue pour savoir ça
Elle passe de la coquine qui accueille un mâle virile, à chiennasse qui se fait enculé, à psychologue qui explique avec des théories savantes, la culture patriarcale du viol dont les douces princesses comme elles sont victimes
En quelques heures elle a honte de ce qu’elle est, de ses propres désir et donc elle impose un narratif imaginaire,de caissière de supermarchés de banlieues populaires, qui se prend pour une sociologue versaillaise qui va le dimanche à la messe à Saint Nicolas du Chardonnet
Même elle sait que c’est faux, mais la réalité est trop violente à accepter
Je suis heureux de ne pas avoir 20 ans aujourd’hui
Pourquoi n’accepte t elle pas ce qu’elle est ?
A mon époque on avait des femmes qui n’avaient pas honte d’aimer le sexe, et elles l’assumaient,ça leur donnait d’ailleurs un certain charme auprès des hommes
Elles se mentaient pas
Nous entre copains on savait qu’on ne ferait pas notre vie avec elles,mais ça ne nous dérangeait pas, et on les traitait pas mal
On savait ce qu’elles voulaient et comment elles étaient,ça n’allait pas plus loin
Elles n’auraient pas la bague au doigt,ni ne seraient là mère de nos gosses
Quel monde de dingue, la haine de soi, le manque de courage, d’accepter ce que l’on est,d’où l’on vient, notre classe sociale,nos désirs, nos fantasmes, nos envies et nos frustrations, sont tellement forts qu’on s’invente une histoire même si ça ne tient pas la route et que c’est totalement bancale
Ça me fait penser à tous ces youtubeurs qui hier étaient des petits mecs frustrés qui insultaient les femmes et qui en un clin d’œil sont devenus des féministes, ou c’est rappeurs dealers qui deviennent d’un coup d’un seul plus musulman que le prophète,valable pour le droitard,ou le catho, certainement le zèle du converti qui veut être, plus royaliste que le roi !
Société du spectacle et du paraître
Monde de rêves ou la réalité n’a plus pied
On est quelqu’un dans la vie et on peut être le quelqu’un de son imaginaire tant pis pour les incohérences faut que ça colle
Ouffff !
De la même façon que notre époque "déconstruit" les mâles (du moins elle essaie), les supposés fantasmes féminins visant à être un peu violenté, brutalisé ne sont qu’invention.
S’il est évident que certaines femmes aiment être dominées voire brutalisées, on est en réalité loin de la majorité. Celles qui aiment la brutalité sont en général des frigides. N’ayant pas été initiées aux subtilités de l’érotisme (qui est en quelque sorte la "poésie" sexuelle) elles peuvent vivre longtemps en prenant la surexcitation pour la jouissance orgasmique.
Celles qui ont la chance d’être initiées (souvent par d’autres femmes d’ailleurs et ce tout simplement parce que seules les femmes connaissent le corps des femmes et ses "secrets" orgasmiques) recherchent toujours des partenaires connaisseurs en érotisme.
Rappelons ici que érotisme n’égale pas sadisme. L’érotisme relève de la suggestion, de l’effleurement et de la durée des actes, ce qui par ailleurs n’exclut en aucun cas que l’on sache user d’accélération et de directivité à des moments clefs. Rien à voir avec le graveleux que notre époque vend comme pratiques d’émancipation !
Les hommes de la Grèce antique qui pratiquaient l’homosexualité le faisaient non pas parcequ’ils étaient "gays" (ce qu’essaient de nous démontrer en vain les homos) mais parce qu’ils initiaient les jeunes garçons aux pratiques érotiques et aux approches recommandées pour le futur époux hétéro. Cela n’exclut pas non plus que les plus âgés n’en profitaient pas pour s’adonner à leur propre fantasmes !
Il faut toujours remonter aux origines des us et croyances pour comprendre leurs dérives. Les dérives sont la caractéristiques de notre fin de civilisation. On inverse les valeurs originelles au profit de comportements malsains dont l’objectif réel n’est que la réification d’autrui. En clair, l’Autre devient mon objet de jouissance.
Cette réification d’autrui qui affecte à peu près tous les domaines de notre pathétique fin de civilisation conduit immanquablement à la barbarie... le "no limit" est son carburant et la perversion narcissique son moteur.
@Sev
S’il est évident que certaines femmes aiment être dominées voire brutalisées, on est en réalité loin de la majorité. Celles qui aiment la brutalité sont en général des frigides
Absolument faux, c’est une réalité.
N’importe quel mec avec un peu d’expérience le sait.
Je t’invite à aller faire un tour sur les forums féminins ( Doctissimo, aufeminin... )où les femmes sous anonymat se lâchent.
Après on peut toujours pinailler, essayer de nuancer, dire ’’ qu’il faut pas généraliser ’’ ... Mais la sociologie, c’est l’étude des masses, et ce constat s’applique à l’écrasante majorité d’entre elles.
Elles le confessent toutes au creux de l’oreiller.
Le problème de nos jours, c’est que la femme fait ce qu’elle veut. L’homme ne fait pas ce qu’il veut ! L’homme serait-il en position infantile ?
Moralité : il aurait dû continuer à lui ramoner la boîte à Suchards, elle lui aurait tressé des lauriers !
Bah oui mais tu vois il n’a pas autant l’habit(r)ude que elle, le pauvre... à force il aurait eu le colosse qui surchauffe, même s’il y a au bout un véritable hangar...
En même temps si il etait parti direct après l’avoir, à sa demande, traité comme une chienne, elle nous aurait pondu une bouse comme quoi les hommes sont des crevards qui n’ont aucune empathie et ne peuvent soutenir une conversation avec la belle indomptable cultivée qu’elle est. Non mais ça doit être fun ce niveau de dichotomie. Serieusement si j’etais un homme , même en chien j’approche pas d’une dingue pareille. La nana serait capable dans une vague de rage de supprimer son article est de porter plainte.
Société de tarés autant chez les femmes que chez les hommes