C’est avec beaucoup d’humour et des extraits bien sentis que le sociologue Stéphane Édouard se défend des accusations du « sociologue des courants d’air » Jean-Claude Kaufmann.
C’est avec beaucoup d’humour et des extraits bien sentis que le sociologue Stéphane Édouard se défend des accusations du « sociologue des courants d’air » Jean-Claude Kaufmann.
kontrekulture.com | Juillet 2009 | Alain Soral |2 |
« La femme est l’avenir de l’homme. » Cette sentence devenue célèbre résume à elle seule le credo de l’époque, son idéologie. Que le poète qui l’a prononcée ait vécu en stalinien et fini pédé devrait pourtant inciter à la prudence, voire à la réflexion. À moins que le but de ce slogan, devenu « demain sera féminin » dans un catalogue de vente par correspondance, soit justement de couper court à toute réflexion (...)
kontrekulture.com | Juillet 2009 | Alain Soral |1 | SocialSociologie |
Misères du désir, c’est un beau titre. Quand on pense à toutes les emmerdes que vous attire l’entreprise de conquête sexuelle : humiliation du « non », frais de table, maladies vénériennes, mariage, divorce et pension, prison pour pédophilie, voire pire... on se dit, comme Bertrand Cantat, que s’abstenir eût été préférable. Qu’on se contente seulement d’écrire sur le plaisir, comme certain puceau lettré (...)
kontrekulture.com | Janvier 2015 | Lucie Choffey |1 | Société |
Lucie Choffey est née en 1984 près de Bourges, dans le Cher. Après des études d’ingénieur et le début de ce qui aurait pu devenir une belle carrière, elle décide de tout arrêter pour suivre, malgré les pressions et les regards désapprobateurs de son entourage, son désir propre de femme et de mère : rester à la maison et s’occuper de son fils. Elle essaye alors de comprendre pourquoi, pendant tant d’années, (...)
liberation.fr | Février 2018 |16 | Justice & DroitMédiasSociologie |
Le « sociologue » Jean-Claude Kaufmann ne va pas se friser les moustaches longtemps. Après avoir diffamé Stéphane Édouard qui participait en 2016 à une émission de M6 sur la drague en tant que consultant, il se retrouve à hurler au loup sexiste et soralien pour se victimiser. Kaufmann risque 12 000 euros d’amende (en cas de procédure) du coup il pleurniche dans tous les médias complaisants : (...)
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Le BHL de la sociologie = excellent et juste ;-)
Ces universitaires bénéficiant de privilèges se croient au-dessus de tout.
En tout cas, Stéphane Édouard vous avez su le remettre à son juste niveau.
Après Jean-Claude, un petit coup de Philippe Corcuff et t’as juste envie de mourir pour que ça s’arrête.
Habillé pour l’hiver le "sociologue des courants d’air". Ça tombe bien, le froid russe arrive !
Le philosophe des courants d’air, c’est comme le marquis des antipodes, une expression qui aurait eu sa place dans Ridicule, le film de Patrice Leconte.
Génial !
Même si il bénéficie du tamtam corporatiste et mediathique Monsieur Kaufmann fait partie de ce qu’il est bon de nommer l’ancien monde maintenant. Ce qui ne doit pas l’exempter de rester honnête. Ce billet d’humeur vidéo est une brèche de plus, bien inspirée, ne sentez vous pas cet air frais ? Ce souffle de liberté et de vérité venant disperser les mensonges de l’imposture ?
C’est beau et ce n’est que le début de ce noble combat qui n’est pas sans en rappeler d’autres ici même. Stephane Edouard est un bon, un très bon
Il n’osera pas le dire ou même se l’avouer, mais Stéphane Edouard fait parti de la dissidence, car il s’attaque, et avec brio, dans les arcanes du pouvoir. Même si on tient en horreur le recours à la justice pour faire valoir ses droits, la démarche de Edouard est la meilleure. Retourner l’arme contre ceux qui la manipulent. Ceci est un message fort envoyé à tout dissident. N’ayons pas peur, pas peur d’attaquer. Nos opposants le font sans vergogne, pourquoi pas nous ?
C’est sur youtube sous la vidéo mais je mets le lien direct :
https://www.hommesdinfluence.com/ar...
Moustache se fait littéralement écraser, et par là-même, "sa" "communauté universitaire" des sociologues.
Franchement j’ai même eu pitié un moment, tranche de rire assurée. Mais comment on peut nommer de tels esprits vides à des postes tels que le CNRS ? je m’interroge.
J’en ai vu beaucoup des commes-cela.
Le CNRS est une entité independante, financant sur ses propres budgets ses chercheurs. C’est la meilleure planque pour un chercheur.
Le recrutement se fait sur un projet. Qui passe devant une commission d’évaluation.
Si le projet est accepté, le chercheur intègre administrativement le CNRS et va travailler ou il veut. Les universités sont heureuses de les accueillir, car elles bénéficient de l’aura du CNRS sans en avoir la charge financière.
Le chercheur devient un petit baron. Il est invirable, sauf a quelques exceptions près.
Et le summum, est qu’il n’a aucune obligation de résultat sur son projet initial. Il a entiere liberté sur son travail et ses recherches (si elles existent).
En résumé c’est une sorte de concours pour accéder a la retraite le plus tôt possible. A l’université d’Orsay a l’epoque ou j’y étudiais, j’en ai croisé des sacrés specimens qui passaient leur temps a animer le club d’astronomie local, grassement payé sur les fonds du CNRS.
Heureusement ils ne sont pas tous comme cela, Il faudrait sérieusement se pencher sur l’utilisation des fonds publics pour la recherche et la gestion de ces organismes.
Mais il faut comprendre que l’on touche au coeur du système. Il ne faudrait pas que les gens avec un QI supérieur se sentent en danger.
Si je comprends bien le CNRS c’est comme le Conseil Economique et Social, c’est une des meilleure planque de France.
Drôle d’époque ou les provocations puis les duels s’établissent sur le papier ou à l’écran : je leur préférais ceux, plus chevaleresques, du sabre au clair. Mais tout fout le camp...
@Sedetiam
Vous préférez quand les désaccords se résolvent par les coups, les armes, et le sang ?
@ S.Z.
Ça n’est pas tout à fait ce que j’ai voului exprimer : il fut une époque (moins virtuelle que les réseaux sociaux et leur pseudo-réalité) où le type qui désirait tancer un « adversaire » sur la base du n’importe quoi, réfléchissait trois fois avant de s’exprimer, y allait avec des mots choisis, évitait l’outrage (voir même le blasphème pour certains) et encore moins la diffamation. Le faire en dehors de ce cadre de la bienséance chevaleresque, de l’étiquette, était prendre le risque de s’exposer à une facture sonnate et trébuchante. Ainsi donc, le n’importe quoi n’était pas le n’importe comment et avec n’importe qui.
Pensez-vous que la réalité d’aujourd’hui échappe à cela, comme si nous étions plus civilisés ? Que nenni : nos dissidents ici présents et sur les planches savent ce qu’il en est de relever le défi, quotidiennement.
Nous parlions ici d’un type qui s’exprime en se planquant derrière sa plume affûtée au CNRS, sachant, pensant (ou se foutant) que son interlocuteur devra la jouer petit bras (vidéo bla bla), l’actuelle fiote de justice à deux vitesses, aidant.
Gardons bien à l’esprit ce qu’un des appar_tenants du système rappelait à tout un chacun et surtout à l’un de nos dériseurs contemporain le plus renommé : « Après l’injure il y’a la loi et après la loi, il y’a les coups . »
Comme le soulignait Coluche autre dériseur de son époque : « Alors j’l’invente pas, tout le monde le sait. »
Moi non plus, je n’invente rien.
Ainsi donc, ce qui me venait à l’esprit, c’est qu’il y en avait marre de ses types qui se permettent d’affirmer (voire de diffamer) sans laisser aucun droit de réponse aux autres, sous prétexte que tout le monde jacte ici et là, à satiété de sa propre minute de gloire, sans avoir le moins du monde conscience des risques réels, concrets. Au pire, de s’en tamponner.
Ainsi donc, je veux bien le cynisme des Pierpoljacks, à l’instar de Diogène : à l’unique condition, qu’ils dorment et vivent dans un pithos. Sinon, qu’ils la ferment.
C’est de cela dont il suffit.
kaufmachin c’est de l’enfonceur de portes ouvertes puissance 10. Mon Dieu, quel ramassit de poncifs !!! Edouard lui range des cargaison de barquettes de quenelle bien au fond à droite, à gauche, sur le dessus, jusque dans les narines ^^