Thierry Borne est chef d’entreprise. Président du Parti de Rien, il milite pour l’éviction de la classe politique au pouvoir et l’instauration d’une démocratie réelle en France. Le communiqué suivant a été publié sur sa page Facebook le 9 décembre 2015.
Il y a un début à tout.
Depuis des mois, j’ai écris beaucoup de textes pour réveiller la population. Humblement, il m’a semblé avoir raison de le faire. J’ai régulièrement utilisé le « nous ». Aujourd’hui il est temps que je m’exprime en mon nom.
Ce matin une quarantaine de gendarmes armés de mitraillettes ont pris possession de mes Ecuries et de mon restaurant. Mon délire ? Ne plus être affilié au régime soi-disant obligatoire. Effectivement, j’ai fait cela sans aide extérieure, en provoquant le système. Mais je l’ai fait dans le respect de nos lois constitutionnelles et en application des directives européennes sur la libre concurrence des banques et des assurance. Un dossier vieux de plus de vingt ans. Aujourd’hui, alors que que la France a été condamné par la Cour européenne pour non-application de cette réglementation, le pouvoir en place veut me mettre à genou pour me faire taire. Les magistrats véreux mangent dans la main de son qui leur distribue leurs avancements. On a viré mes 13 employés légaux alors que l’État crapule emploie plus de 44 000 personnes illégalement.
Désolé mais les forces de l’ordre se trompent d’adresse.
Dois-je maintenant m’assoir sur 30 années de dur labeur ? Quel sacrifice dois-je faire pour rentrer dans le rang ?
Dois-je faire comme beaucoup de Français, me résigner ? Fermer ma grande gueule ? Ou alors combattre le fléau ? Je n’abandonnerai jamais car abandonner, c’est renoncer au droit à la vie. Personne ne peut et ne doit être privé de cela. Mon combat d’aujourd’hui est votre combat de demain. Mon problème personnel sera demain votre problème. Personne ne sera épargné.
La seule peur que vous devez avoir c’est celle de ce qui va arriver si vous ne faites rien.
Je ne suis qu’une étincelle, soyez l’embrasement qui va lourder ce gros ramassi de salopards.
Il est possible que la véritable révolution commence ce soir et à Grilly. Voici venu le moment de se bouger car demain il sera trop tard.
Je suis actuellement en cavale en Suisse, tout près de [ma] maison mais dans un pays démocratique.
J’invite tous les dissidents à sortir du bois. Nous devons mener ce combat pour nous et nos enfants.
N’attendez rien des élections et de nos dirigeants. Ils ne veulent que s’enrichir sur notre dos.
Ce n’est plus acceptable.
Ensemble, relevons ce défi et surtout vivons pour nous.