Évidemment Marlène se croyait dans son bon droit de privilégiée qui détient l’autorité lorsqu’elle a exigé la « liste » des noms des donateurs à la cagnotte de Christophe Dettinger sur Leetchi. A-t-elle compris que ce genre de techniques d’intimidations vivait ses dernières heures ? Toujours est-il qu’elle soupçonne désormais le gouvernement italien de « financer les casseurs et les violences urbaines dans Paris »...