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Tromperie féministe : Le Jeu de la dame, la série Netflix sur le génie féminin des échecs

Le monde échiquéen risque de sourire, mais pas longtemps, car le progressisme s’insinue partout, et malheur à celui qui osera entraver cette progression vers la parité ultime. Pourtant, le monde des échecs est très masculin, et d’aucuns y voient la preuve ou la matérialisation que le cerveau gauche, ou plutôt l’hémisphère gauche, serait plus développé chez les hommes que chez les femmes – on simplifie, pour la démonstration –, ce qui les rendrait supérieurs dans l’approche logique des choses.

 

(Si vous la voyez tourner dans le sens des aiguilles d’une montre, c’est que vous regardez spontanément avec votre cerveau droit ; sinon, vous l’avez vue avec votre cerveau gauche)

L’hémisphère gauche serait le lieu de la création du langage, de la parole, de l’écriture, des chiffres, de la logique et de l’analyse. Il produirait plutôt une pensée séquentielle, se déployant dans le temps, reliant un mot, un chiffre, un concept après l’autre, comme on bâtit une phrase mot après mot, un mur pierre à pierre, un raisonnement pas à pas.

L’hémisphère droit, lui, serait le lieu où le cerveau perçoit la notion d’espace, la pensée sans langage, le rêve, l’imagination, les couleurs, l’intuition, la synthèse. Il pourrait associer simultanément plusieurs concepts, et procéderait plutôt par association d’éléments disparates. (reussirmavie.net)

Ceci étant posé, même si les choses sont évidemment plus complexes (il y a des femmes qui ont le sens de la logique et des hommes qui vivent dans le monde du rêve), le progressisme vient donc de frapper dans le petit monde très fermé et très masculin des échecs. Les chiffres parlent :

Aux échecs, pour la licence A (compétition), il y a 12/100 de féminines mais seulement 7/100 de féminines adultes, ce qui nous place à peu près au même niveau que le cyclisme ou le tir sportif. Si on inclut les licences B (sport loisir), on passe à 20/100 de féminines mais seulement 11/100 de féminines adultes.

Une première constatation s’impose : le passage à la compétition ou à l’âge adulte fait nettement chuter la participation féminine. Donc déjà l’explication culturelle de la désaffection féminine généralisée pour les échecs a du plomb dans l’aile : avec 20/100 nous sommes assez loin de la moyenne de 35/100 mais pas ridicules, beaucoup de petites filles s’essayent donc aux échecs.

C’est le passage à la compétition qui est un premier obstacle, mais il l’est aussi dans d’autres sports. Par contre l’abandon assez massif des féminines à l’âge adulte (quasiment la moitié des effectifs) semble être un problème spécifique aux échecs.

Quelles peuvent être les explications ? Il y a manifestement une forme de désillusion, mais pas propre aux jeux intellectuels, puisque le bridge ou le scrabble s’en sortent bien mieux. Alors quoi ? Un milieu échiquéen plus « macho » qu’ailleurs ? Un jeu plus individualiste, plus guerrier, qui finirait par lasser les femmes ? Une ambiance moins attirante ? (À part les tentatives de notre amie Christine et son célèbre gâteau au chocolat !) Ou bien encore la constatation que « finalement les échecs c’est un jeu de mecs ». Probablement un mixte de tout cela. (France échecs )

Netflix a produit une petite série à la gloire d’une joueuse d’échecs incarnée par une espèce d’Amélie Poulain à l’américaine, Anya Taylor-Joy.

 

 

Les Inrocks, l’hebdomadaire culturel gauchiste déficitaire, ne tarit pas d’éloges sur ce projet qui sent bon le féminisme :

Si le sujet n’a pas l’air des plus alléchants à première vue – du moins pour passionner sept heures durant – il est, au contraire, habilement choisi : les spectateurs restent friands de ces personnages hors du commun. D’autant plus lorsque ces derniers se révèlent être des mathématiciens hors pair, type Will Hunting et autre Homme d’exception, domaine dans lequel le commun des mortels n’y comprend généralement rien.
Ajouté à cela le choix d’une héroïne, incarnée par l’étoile montante Anya Taylor-Joy, au jeu magistral et à l’élégance d’une jeune Hepburn (déjà aperçue dans The Witch, Split et bientôt à l’affiche du prochain préquel de Mad Max), vous obtiendrez une mini-série qui se regarde d’une traite sans le moindre effort.

Sur sa lancée, le gauchisme culturel ne freine aucunement son euphorie en fin d’article :

Beaucoup tenteront d’y voir le récit de l’émancipation d’une jeune femme dans le monde sexiste des années 1960 et le milieu exclusivement masculin des échecs. Si ce constat est en grande partie vrai, Beth ne fait face en réalité à aucune résistance, aidée même par les hommes qui l’entourent, tous amoureux et admiratifs de son talent – du geek Harry Beltik au cow-boy Benny Watts. Ce parcours idéal nous laisse un peu sceptique, pas sûr qu’il colle cette fois à un quelconque réalisme.

Traduction : une femme qui battrait des hommes ne pourrait pas être admirée ou soutenue par des hommes, ces sexistes (racistes du sexe opposé). Les Inrocks, qui se trompent de déni de réalité, oublient que les compétitions d’échecs ont été scindées en deux groupes distincts, sauf évidemment chez ceux qui les pratiquent en loisir : les hommes à gauche, les femmes à droite. Seule Judit Polgár, la grande championne hongroise, a fait une intrusion chez les mâles. Mais elle reste une exception et dans les échecs féminins, aucun nom n’a remplacé le sien dans la mémoire collective.

Jeune prodige des échecs, elle obtient en décembre 1991 la dernière norme pour le titre de grand maître international — à moins de quinze ans et cinq mois — et devient la première personne à battre le record de précocité de l’Américain Bobby Fischer, qu’il détenait depuis plus de 33 ans. Son titre de grand maître lui est décerné officiellement par la Fédération internationale des échecs au début de 1992.
Meilleure joueuse de la fin du XXe siècle et du début du XXIe siècle avec une très confortable avance, Judit Polgár a été parfois surnommée « La Reine des Échecs ». Du fait de son haut niveau de jeu, elle ne participait plus aux compétitions réservées aux femmes mais affrontait directement l’élite masculine mondiale dans les compétitions mixtes. Elle est, à ce titre, considérée comme la meilleure joueuse d’échecs de tous les temps. (Wikipédia)

 

Cette série féministe qui a vocation à susciter les vocations chez les filles, ce qui est très bien pour le jeu (et pour leur cerveau gauche), si elle avait été réaliste, aurait dû être une série sur Judit Polgár ou Robert James Fischer. Malheureusement, Bobby était un homme et en plus il avait mauvais caractère : c’était un juif américain antisioniste et anti-américain, comme quoi une grande intelligence peut (et même doit) aller contre l’essentialisme.

Quoi de mieux que Biltztstream pour montrer le génie du jeune Bobby, ici âgé de 13 ans seulement ?

 

 

Conclusion sans appel

Il y a de très fortes joueuses aux échecs, mais ce n’est pas la norme. Il ne s’agit pas de machisme, mais de réalité statistique. On peut contester les chiffres, faire œuvre de fiction pour rétablir un déséquilibre naturel ou une discrimination imaginaire, mimer une crise de nerfs, imposer une loi sur la parité (la marité ?), mais la Nature s’en fout : elle n’est pas très progressiste...

 

Bonus dérangeant : la joueuse polonaise tricheuse

La Fédération polonaise des échecs a suspendu 2 ans de toute compétition Patrycja Waszczuk, 17 ans, pour avoir prétendument utilisé un téléphone en jouant. Le père de l’accusée a fait appel de cette décision, en clamant que les preuves étaient circonstancielles.

Waszczuk, actuelle championne de Pologne des moins de 18 ans, a été exclue du festival d’échecs d’Ustron le 16 août 2020 pour la possession d’un appareil électronique. Le résultat de sa partie de la quatrième ronde a été modifié, passant d’une nulle à une défaite. Il existe une forte suspicion de l’utilisation d’un téléphone durant ses parties, ce qui a conduit à ce bannissement de deux ans. (chess.com )

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Ouh, la tricheuse !

 

C’est le pompon ! Une info qui tombe très mal pour la promo bien-pensante du Jeu de la dame.

Hommage à Bobby et aux échecs, sur E&R :

 






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77 Commentaires

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  • #2583606
    Le 2 novembre 2020 à 21:59 par Maximus Biroutus
    Tromperie féministe : Le Jeu de la dame, la série Netflix sur le génie (...)

    Je suis un homme et j’ai vu la danseuse tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Dois-je me faire ausculter la biroute et si oui, est-ce que je peux me pincer les tétons pendant l’examen ?

     

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  • Netflix petit joueur. La femme n’est même pas noire. La BBC au moins c’est du sérieux. La prochaine Ann Bolein, mere d’Elysabeth et femme d’Henri VIII, sera noire ébène ! Ça je dis oui.
    Comme Henri VIII a un rôle important dans la mise en esclavage des paysans, on pourra dire que c’est un peu à cause des noirs.

     

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  • J’ai vu Polgar jouer physiquement contre Kasparov, Anand, Kramnik, Kamsky, au début des années 90. Pas très souriante et pas très sympa, à l’époque, elle était jeune, mignonne mais un peu bêcheuse comme souvent les filles de son âge. Mais un vrai génie du jeu, extraordinaire !

    Je vais vous dire une bonne chose que personne n’a relevé ni dans les commentaires, ni dans l’article, c’est une anecdote du champion du monde actuel, Magnus Carlsen, qui résume bien le ressenti des joueurs d’échecs sur le sujet des échecs féminins :

    il y a 3 ou 4 ans, des féminines participaient à un tournoi où il y avait des femmes, et aussi Carlsen, et il y eu notamment une partie superbe, pleine d’intelligence et de très haut niveau de l’une d’elles (je ne sais plus si c’était Hou Yifan, ou Ju Wenjun, bref...). Carlsen s’est approché de la table des féminines, était absorbé longuement par leur partie magnifique, mais comme souvent, après une stratégie magnifique, la joueuse a fait une gaffe d’adolescente, car elle s’est laissé emporter par l’émotion et surtout l’instabilité. Carlsen, dégouté, a basculé brutalement la tête en arrière, et en partant, a dit : "pffffff... ! women chess !!"

    ça avait donné lieu à beaucoup de commentaires à l’époque, mais les gens avaient constaté que Carlsen avait raison : ce n’est pas en premier lieu un défaut de qualité de jeu ou une infériorité dans la capacité de calcul qui fait perdre les femmes contre les hommes, mais d’abord l’instabilité de caractère : elles jouent très bien, sont très combatives, et soudain, pfffffittt, des gaffes qui font perdre sur le champ !
    Regardez les parties des championnes, vous verrez c’est souvent le cas, et c’est ce gâchis qui irritait Carlsen.

    Ainsi, pour le fait que les femmes sont plus faibles aux échecs, la source N°1 du problème est d’abord l’instabilité de caractère, puis seulement ensuite, une infériorité de calcul face aux grands maitres hommes de 1er plan.

     

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  • Moi j’ai deux cerveaux ! Biceps droit, biceps gauche, et dans la tête j’ai un muscle ! Quand je « pense » avec le cerveau droit, le mec en face il tourne comme une horloge, quand je « pense » avec le cerveau gauche il sonne….

     

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  • Ben moi j’ai beaucoup aimé cette série,

    L’héroïne est une femme ? Effectivement, historiquement, à une exception prêt je crois (Judit Polgár qui bat Kasparov) c’est la seule fois où une femme bat le numéro 1 mondial.
    Mais je ne trouve vraiment pas que la série pousse le trait sur le côté féministe. Les femmes ne sont pas non plus forcément ménagées dans cette série : l’héroine principale et ses addictions, sa mère biologique et sa folie, sa mère adoptive et ses problèmes d’alcool, ses camarades de classe qui se foutent de sa gueule (sur sa tenue...)

    Y’a un parallèle qui m’est venu en tête assez rapidement d’ailleurs, c’est un peu Rocky au féminin ! Si tu regardes que le gabarit de Stallone face à Dolph Lundgren tu te dis il est mort et pourtant (même contexte historique de guerre froide en plus).
    2 personnages partis de loin qui atteignent les sommets,surmontent leurs faiblesses pour atteindre leur but.

    J’ai même versé ma petite larme quand Beth se rend de retour à l’orphelinat, et voit le mur du concierge qui lui a appris à jouer, couvert des coupures de presse à son sujet, et retombe sur la photo d’eux 2 prise quand elle avait 8 ans.

    çà reste du divertissement mais de qualité à mon sens (acting, réalisation, costumes, Kasparov comme consultant technique, parties d’échecs réalistes).

    Chacun se fera son avis, mais pour moi on en très loin des théories LGBT, théories du genre ou même Girl Power à la con qu’ils nous mettent à toute les sauces dans les blockbusters américains.

     

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    • Je n’ai pas vue la série, mais ton résumé me suffit à comprendre que cette série montre toute femme restée dans son rôle de femme mère au foyer comme une malheureuse ou une tarée. Donc la spectatrice ou le spectateur sensible à la cause de la victoire personnelle de la femme devant l’adversité de sa condition de femme, est poussée pour ne pas se sentir elle meme une raté au foyer à faire comme l’héroïne, à "performer" individuellement dans "un monde d’hommes", donc finalement à faire comme un homme : aller à la guerre.

      Dans la série elle se marie et à des enfants à un moment ou bien elle reste revancharde jusqu’au bout ?

       
    • Ben la série se termine sur sa victoire contre le champion du monde à 20ans + (24 c’est l’âge de l’actrice). Donc savoir ce qu’elle devient après... Peu de temps auparavant elle croise d’anciennes adversaires aux échecs qui sont devenues mère de famille et çà à l’air de rouler pour elles.
      Et puis je sais pas la première question que je me pose quand je regarde une série ce n’est pas, "est-ce qu’elle fidèle à la ligne politique e&r" mais "est-ce que je passe un bon moment". çà ne m’empêche pas de prendre du recul après coup. Mais là sérieux, je ne vois pas pas de propagande dans cette série. C’est si cata de mettre en valeur une femme ? C’est 50% de l’humanité et moi j’aime les femmes.

       
    • #2584653

      C’est si cata de mettre en valeur une femme ? C’est 50% de l’humanité et moi j’aime les femmes.



      Je ne pense pas que qui que ce soit ici reproche aux films mainstream de "mettre en valeur des femmes"...
      Je crois que ce qui est plutôt reproché, c’est de perpétuellement recycler (et nous resservir à toutes les sauces) le vieil archétype suivant :

      « Il était une fois Un Domaine -considéré- d’hommes, dans lequel il serait -a priori- impensable pour une femme de s’aventurer (du fait des blocages liés à la méchante société patriarcale, bien entendu).
      ...Mais un jour, Une Femme Ose tenter sa chance et s’aventurer dans ce Domaine. Evidemment, du fait de son statut de Femme (=discriminée/opprimée/discréditée), elle se heurte à des tas d’obstacles, auxquels aucun homme n’aurait jamais besoin de faire face (ces ultra-privilégiés de la méchante société patriarcale)...
      ...Eh bah figurez-vous que non-seulement elle réussit à surmonter tous ces obstacles, non-seulement elle réussit à bien s’en sortir, non-seulement elle se débrouille pas mal du tout, non-seulement elle s’avère même excellente, non-seulement elle supère incontestablement TOUS ses rivaux masculins, non-seulement elle devient même N°1 Mondiale, mais en plus, elle devient carrément de-loin-la-personne-la-plus-douée-dans-ce-domaine-DANS-TOUTE-L-HISTOIRE-DE-L-HUMANITÉ !.. »
      (grosso-modo, à l’une ou l’autre infime variation près)

      (Donc en résumé : pendant des siècles* voire millénaires*, des hommes maîtrisent un Domaine* "interdit aux femmes", puis un jour UNE femme essaye, et malgré qu’elle "joue avec un handicap et en terrain adverse", elle fait mieux que TOUS les [milliers* voire millions*] d’hommes dans-toute-l’histoire-de-l’humanité...
      [*NB : je ne parle pas spécifiquement des échecs, mais de l’archétype général]
      Pour ceux qui seraient bien-pensants au point de ne rien y voir de "légèrement malaisant", essayez peut-être en remplaçant -par exemple- "hommes" par "Noirs" et "Une Femme" par "Un Blanc"...)

       
  • Certes un hémisphère peut être dominant mais ce peut être pour des raisons variées (un déséquilibre de la vision binoculaire par exemple) et cela ne définit pas les traits fondamentaux de la personnalité ni les spécificités intellectuelles. La ou la plus grande différence existe entre homme et femme c’est entre les deux hémisphères ! (J’en vois qui déjà goguenardent !) Mais le fait est que le nombre de connexions dans la zone interstitielle entre les deux hémisphères est généralement plus élevé chez les hommes que chez les femmes. L’émotivité pourrait éventuellement s’expliquer par une espèce de lenteur à passer du perçu à l’analyse objective du réel. Cette zone interstitielle est plus dense chez l’homme aussi pour des raisons physiques, je dirais même sportive, puisque le cerveau droit contrôle le côté gauche et le gauche le côté droit. Les hommes étant souvent plus « physique » ils ont besoin d’une bonne coordination, donc de capacite de communication plus élevées entre les deux hémisphères. Le sport développe donc le cerveau, « mens sana in corpore sano » et l’expression « se croiser les câbles » détient une partie de vérité.

     

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  • #2583965

    J’ai l’impression que tout est dans le rythme. Lorsqu’on lance la vidéo, quand on visionne attentivement dès la première fraction de la première seconde, elle a l’air de tourner à gauche. Mais si l’on commence à visionner après la première seconde, elle aura l’air de tourner à droite. Je peux ainsi la voir tourner et à gauche et à droite.

     

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  • #2584681
    Le 4 novembre 2020 à 00:34 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Tromperie féministe : Le Jeu de la dame, la série Netflix sur le génie (...)

    elle tourne sur sa droite

    le spectateur la voit tourner vers la gauche

     

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  • #2585030

    Dans le rayon science - fiction , " ils " pourraient nous pondre un film dans le genre Led Zep , ou Pink Floyd au féminin ... l’histoire de rigoler !!!

     

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  • J’ai vu la série, ça faisait longtemps que je n’en avais pas vu d’une telle qualité... Je n’ai pas voulu bouder mon plaisir en lisant trop vite cet article... Magnifique série !
    Quand on est proche d’ER, on est habitué à faire abstraction de certaines choses dans les films, à "faire avec" quoi...
    Le truc qui m’a interpellé un peu (les réflexes sont là ;) !), c’est le traitement, dans la série, des soviétiques... Clairement c’est une belle image de l’URSS qui est proposé (tandis que le garde-du-corps ricain est un couillon)... Loin de ce qui se faisait jusque dans les années 90 ! Parce qu’un régime de type soviétique -genre le gouvernement mondial qu’on nous annonce- s’apprête à prendre les rênes ?...

     

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