L’élection de Donald Trump « ouvre une période d’incertitude », a estimé François Hollande. « Ce qui est en jeu c’est la paix, c’est la lutte contre le terrorisme, c’est la situation au Moyen-Orient, ce sont les relations économiques et c’est la préservation de la planète ».
« Le leadership des Etats-Unis est plus important que jamais », selon le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg.
« Rien ne va être plus simple, beaucoup de choses vont devenir plus difficiles », selon le chef de la diplomatie allemande Frank-Walter Steinmeier.
« Le plus important est que le futur président des États-Unis respecte les accords, les engagements pris non pas à un niveau bilatéral mais à un niveau multilatéral », a estimé le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif.
« Nous souhaitons à votre excellence la réussite et le succès dans votre mission pour réaliser la sécurité et la stabilité dans la région du Moyen-Orient et dans le monde » (roi Salmane d’Arabie saoudite).
« Félicitations. Quelle excellente nouvelle. La démocratie est toujours en vie », s’est réjoui sur Facebook le Premier ministre hongrois Viktor Orban, populiste de droite.
« Je passe le relais à @RealDonaldTrump ! Toutes mes félicitations. Vous avez mené une campagne courageuse », a réagi sur Twitter l’ex-leader du parti europhone britannique Ukip, Nigel Farage.
« Le vaccin face au fascisme de Trump c’est la justice sociale et les droits de l’Homme, pas encore plus d’establishment. Il y a un peuple aux États-Unis qui résistera », a affirmé le chef du parti de gauche radicale espagnol Pablo Iglesias.