Décidément, l’élection truquée de 2020 qui a vu le pédophile corrompu Joe Biden l’emporter au finish sur Donald Trump n’en finit pas : elle déborde même sur l’élection de 2024, qui n’en est que la resucée. Cette torsion de la démocratie par les forces démocrates révèle la corruption intrinsèque du Système américain.
Pour ceux qui n’ont pas suivi l’affaire, Trump est inculpé d’avoir tenté d’inverser le résultat de l’élection 2020, ce qui constitue une espèce de sommet dans la longue histoire des inversions accusatoires. Mais le Système ne recule devant rien pour écarter le milliardaire qui gêne les plans du pouvoir profond US : la guerre tous azimuts.
Après avoir déclaré qu’il mènerait la bataille électorale du 5 novembre 2024 de sa prison, si jamais ses multiples accusations devaient l’y envoyer, Donald a renvoyé la balle en proposant que son procès devant le tribunal de Washington ait lieu en... 2026 !
C’était pour répondre au procureur Jack Smith qui, lui, avait proposé la date du 2 janvier 2024, histoire de bien être sûr d’éliminer le concurrent du pédo démocrate. Là où les choses se corsent, c’est quand on voit qui le Système a balancé dans les pattes de Donald : le juge femme et noire Tanya Chutkan, soit la haine anti-Trump incarnée !
Normalement, c’est le 28 août 2023 que les deux parties doivent s’entendre sur la date du procès. Les avocats de Donald arguent que la préparation du dossier peut prendre des années, et ne doit pas être bâclée pour des raisons de précipitation politique. D’où la sortie de Trump sur 2026. L’argument des avocats vaut le détour :
« Même en supposant que nous commencions aujourd’hui à examiner ces documents, nous aurions besoin d’aller à la cadence de 99 762 pages par jour […] pour terminer à temps. c’est l’équivalent de lire “Guerre et Paix” de Tolstoï, de bout en bout, 78 fois par jour, et ce tous les jours, d’aujourd’hui à la sélection du jury ».
Du côté de Tanya Chutkan, qui semble avoir fait de Trump son ennemi personnel, les choses peuvent tourner vinaigre. Sa haine se voit tellement qu’elle a déclenché une vague de haine chez les partisans les plus farouches de Donald.
« Si Trump n’est pas élu en 2024, on va venir te tuer.
Alors vas-y doucement, salope ! »
Une femme de 43 ans, Abigail Jo Shry, a déjà été arrêtée par le renseignement pour avoir proféré des menaces de mort envers cette juge. La manœuvre est si grossière, qu’elle prête à rire. Mais bon, quand on sait qu’Abigail est une pure Texane, ce fief des patriotes américains...
Elle a carrément appelé le bureau de Tanya à Washington en la traitant, sur son répondeur, de « stupide esclave noire », ajoutant : « Vous êtes dans notre ligne de mire, nous voulons vous tuer. » Abigail, qui ne recule devant rien, a menacé la famille de Tanya plus tous ceux qui se risqueraient à poursuivre Trump. On le sait, les femmes amoureuses sont capables de tout. Elle a été embastillée dans la foulée.
Le plus drôle, dans cette affaire, c’est que la presse soutient que Tanya « a été désignée de manière aléatoire » ! On écoute le HuffPost, qui décidément ne doute de rien :
Il y a deux ans, la magistrate avait rejeté une action en justice de Trump qui estimait qu’en tant que président, il ne pouvait pas remettre de documents à un comité du Congrès enquêtant sur l’attaque de 2021 contre le Capitole par ses partisans. Elle avait répondu que « les présidents ne sont pas des rois » et que Trump n’était plus en fonction.
De plus, Tanya Chutkan est connue pour avoir sévèrement condamné des partisans de l’ex-président ayant participé à l’assaut du Capitole. Née en Jamaïque, elle a été nommée par l’ancien président démocrate Barack Obama et confirmée à l’unanimité par le Sénat en juin 2014.
Nommée de manière aléatoire, on vous dit. En toute logique, Donald Trump veut récuser cette juge... juge et partie. Encore une preuve de son racisme et de son sexisme !
Fani Willis, l’autre femme noire qui veut la peau de Donald Trump
« C’est un pitbull […] Si je commettais un crime, je ne voudrais pas être poursuivi par Fani Willis. » Ces mots, prononcés par un policier d’Atlanta qui a souvent eu affaire à elle, en disent long sur la force de caractère et le désir de justice de Fani Willis. Cette dernière n’est autre que la procureur américaine qui souhaite faire condamner Donald Trump pour avoir comploté en 2020 en vue de « changer illégalement le résultat de l’élection » présidentielle américaine. (20 Minutes)
Le détournement de Fani Willis en Barack n’est peut-être pas un total fake...
— Alex74 (@kafheine) August 16, 2023