Selon un sondage de la fondation Kaiser Family début mai, seulement un parent d’un enfant de moins de 5 ans sur cinq (18 %) dit qu’il le vaccinera dès que possible. Quelque 38 % disent qu’ils attendront avant de le faire, et le reste qu’ils ne le feront pas, ou seulement si c’est obligatoire. (France 24)
C’est début février 2022 que la coalition Pfizer-BioNTech a déposé à la FDA (Food and drug administration, soi l’Autorité de santé américaine) leur demande d’autorisation du vaccin « pour » les enfants âgés de 6 mois (!) à 5 ans. On a mis pour entre guillemets car on ne sait pas vraiment si cette injection, trois à quatre fois moins dosée que celle pour les grands, est bénéfique. Surtout pour les petits, qui ne risquent quasiment rien face aux virus de grippes ou de covid. Mais quand on voit les dégâts chez les grands...
Libération du 1er février 2022 écrit :
Pour l’heure, l’administration de deux doses de vaccin aux enfants de moins de 5 ans n’a pas montré de résultats satisfaisants. En décembre, Pfizer annonçait ainsi que l’injection de deux doses à des enfants de 2, 3 et 4 ans ne déclenchait pas une réponse immunitaire comparable à celle générée chez les adolescents et les adultes. Chez les enfants âgés de 6 mois à 2 ans, en revanche, les deux doses permettent de créer une réponse immunitaire protectrice.
Visiblement, avec 50 % de résultats immunitaires bénéfiques, l’essai n’est pas concluant. Qu’à cela ne tienne, les deux majors du Big Pharma proposent une troisième dose pour les plus petits ! Chez nous, la vaccination des petits a heureusement fait un flop, mais 4 % des moins de 5 ans ont quand même été piqués. On espère qu’ils ne le payeront pas trop cher, pus tard.
Miracle, quatre mois et demi plus tard, la FDA déclare que le vaccin pfizer est efficace à 80 % chez les moins de 5 ans ! Les termes utilisés sont « sûr et efficace ». La raison invoquée de cette prise de position, extrêmement dangereuse, serait que « leur taux d’hospitalisation et de décès est “plus élevé que chez les enfants et adolescents âgés de 5 à 17 ans”, indique la FDA dans un document publié sur son site », selon le journal 20 Minutes. Pfizer a réussi son coup : avec le coup des trois doses, c’est 30 % de bénef en plus !
À propos du taux d’hospitalisation et de décès des moins de 5 ans sous covid, déjà, il faut vérifier que ces petits n’avaient pas de comorbidités, car on sait qu’aux USA, beaucoup d’enfants sont mal nourris et souffrent de diabète, surtout dans la communauté noire. Or, covid et diabète ne font pas bon ménage.
Pfizer et Moderna sont en passe d’obtenir leur agrément, leur mise sur le marché comme on dit chez nous, et visent un nouveau marché très prometteur de 20 millions de victimes. Qui seront peut-être piquées à vie, comme le souhaite ce fou dangereux de Bill Gates.
En octobre 2021, France Info fait une lourde promotion de la vaccination des enfants : ce reportage est tout simplement abject.
En décembre 2021, France 24 ose titrer : « Il ne faut pas hésiter » !
Pour ce qui concerne la seule obésité, voici la réalité de l’état de santé des enfants pauvres aux USA :
Outre le genre, l’ethnie ou l’âge, c’est bel et bien le niveau de vie qui explique principalement les disparités au sein de la population américaine face à l’obésité. En d’autres termes, l’obésité touche bien plus les pauvres que les riches. Facteur de risque incontestable, l’essor et la consommation abusive des fast-foods chez les catégories sociales moins aisées sont évidemment montrés du doigt. Entre 2012 et 2017, leurs ventes ont augmenté de 23 %, quand les ventes de nourritures industrielles auraient augmenté de près de 10 % sur la même période.
Un rapport de la RWJF (Robert Wood Johnson Foundation) a révélé que les taux d’obésité augmentent à mesure que les revenus des ménages diminuent. L’exemple est frappant chez les plus jeunes : près de 22 % des enfants issus de familles vivant sous le seuil de pauvreté souffrent d’obésité, contre 9,4 % des enfants vivant bien au-dessus de ce seuil.
Le 19 avril 2020, le site The Conversation dévoilait la corrélation entre pauvreté et mauvaise santé dans les communautés noire et latino :
Aux États-Unis, l’épidémie du Covid-19 a déjà fait près de 40 000 victimes en quelques semaines. Sans surprise, les Américains les plus touchés par cette crise sont les minorités les plus pauvres. Mais ce qui interpelle vraiment, c’est le nombre impressionnant d’Afro-Américains contaminés par le virus. Le Washington Post rapporte ainsi que dans l’État du Michigan, 40 % des décès dus au Covid-19 proviennent de la communauté noire, alors qu’elle ne représente que 14 % de la population. (...)
Il est prouvé depuis longtemps qu’il existe un lien de cause à effet entre la pauvreté et la propagation des maladies infectieuses. Dans les quartiers défavorisés, le nombre de cas d’hospitalisations liées à la grippe est presque le double de celui observé dans les quartiers riches. C’est également le cas pour les hospitalisations en pédiatrie pour cause de pneumonie bactérienne secondaire. Il en va de même pour la tuberculose, très présente dans les quartiers pauvres. Toutes ces tendances ne s’expliquent pas uniquement par le fait que ces zones sont plus peuplées.
Il est donc plus que probable que les enfants américains, sous l’égide du pédophile Biden, vont être piqués contre une maladie qui n’est pas la bonne. Ils ont peu de chance de souffrir et encore moins de mourir du covid, le pseudo-vaccin est efficace à 50 % pour Moderna et 80 % pour Pfizer, ce qui signifie non efficace ou dangereux pour les autres, en revanche, trop de ces enfants souffrent de pauvreté. Mais cette lutte n’est pas à l’ordre du jour : elle n’intéresse pas le pouvoir néolibéral. On attendra longtemps le vaccin contre la pauvreté de l’attelage Pfizer-BioNTech et de Moderna.
Bonus : quand Le Figaro (du 15 juin 2022) essaye d’être rassurant
Les deux vaccins sont sûrs et efficaces, selon la FDA, qui a publié en fin de semaine dernière sa propre analyse des essais cliniques afin d’offrir une base de discussion aux experts. Selon une estimation préliminaire, le vaccin de l’alliance Pfizer-BioNTech s’est révélé efficace à 80 % contre les formes symptomatiques de la maladie. Mais ce chiffre est basé sur un nombre réduit de cas positifs, a nuancé la FDA. Le vaccin de Moderna s’est lui montré efficace à 51 % chez les bébés de 6 mois à moins de 2 ans, et de 37 % chez les enfants de 2 à 5 ans.
Sur quoi, un parent américain sur cinq compte vacciner sa progéniture. C’est déjà trop. Mais c’est le début de la première phrase qui nous a scotchés :
Si certains parents attendent avec impatience la possibilité de vacciner leurs très jeunes enfants, d’autres se montreront sans aucun doute sceptiques. Selon un sondage de la fondation Kaiser Family début mai, seulement un parent d’un enfant de moins de 5 ans sur cinq (18 %) dit qu’il le vaccinera dès que possible. Quelque 38 % disent qu’ils attendront avant de le faire, et le reste qu’ils ne le feront pas, ou seulement si c’est obligatoire.
On a compris que les médias mainstream faisaient leur job de rassuristes. On sait aussi que la FDA n’ira pas contre les préconisations du pouvoir profond américain et du Big Pharma. Pauvres gosses !