Vraiment excellent l’article, je tire mon chapeau à Hannibal.

Répondre à ce message

L’idéologie dominante ? c’est bien la shoasse. Ajouter "sse", traduit mieux la chiasse mémorielle que nous subissons de la mafia mondialiste. Que ce soit la droite ou la gauche, les fesses ne font qu’entourer l’anus. C’est imparable : au bout de l’axis, il y a le coccyx : soit tu baisses ton pantalon et tu prends dans le fion, soit tu refuses et tu organises l’opposition.

La shoasse amène à la démence et à la destruction par le règne du mensonge, du vol et de l’assassinat en direct, officiel et assumé. Les tribalistes pervers y tiennent les postes d’importance en ayant noyauté le pays (Le Printemps des Sayanim de Jacob Cohen).

Les dialogues désaccordés fait suite au Comprendre l’Empire de Soral. Ce n’est pas un jeu d’intellectuels se taillant le bout du crayon, C’est un échange de mails brefs ou le style ne prime pas sur le fond. C’est le constat d’une décadence qui submerge le monde et anéanti les peuples. Y a t’il plus urgent comme débat, comme combat ?

De son coté, "La quenelle dans ton cul" et le zouk "Shoananas" est la réponse parfumée de Dieudonné à cet entubage mafieux nauséabond. La boxe éthique de Soral et l’ananas de Dieudo, le logos et l’humour, sont les formes actualisées d’insoumission à cette shoasse merdique imposée au peuple français.
.
La vérité va les tuer.
Le ridicule va les tuer.
la non coopération active va les tuer.
la non violence active va les tuer.
l’enracinement des valeurs va les tuer.
Une opposition forte et unie va les tuer.
le changement de pouvoir va les tuer.
.
Comme disait Mandela, ’si après tout çà on ne peut pas s’en défaire, alors nous aurons recours à la violence’. C’est ce que Soral veut éviter mais c’est ce que valide Naulleau par son droitdelh’ommisme stérile.

Répondre à ce message

Ça c’est vraiment ce qu’on pourrait appeler l’extrême droite et je trouve que cela n’a aucun intérêt. Texte peu subtil, prétentieux, agressif et mal écrit (avec un lourd hors sujet qui fait 75% de l’article). Enfin, qu’attendre d’un journal qui se réclame de Rivarol ?

Répondre à ce message

Si on considère que ce bouquin est un robinet, tout ce que je peux dire, c’est que face à Soral, nulle eau n’a coulé....^^

Répondre à ce message

Quelle belle photo d’Eric Naulleau, rien à envier à George Clooney.
Merci E&R !
Pour moi, Eric Nalleau n’est pas dupe, je pense qu’il a bien assuré ses arrières avant la sortie du livre "Dialogues Désaccordés" avec Alain Soral.
Qu’il subisse un lynchage médiatique ou non, il s’y est préparé d’avance..., je crois même que le but d’Eric Naulleau, avec le bagout d’Alain Soral, était de mettre un bon coup de godasse dans la fourmilière... de la pensée unique du Système.
Merci à vous Messieurs !

Répondre à ce message

Comment il en chie Naulleau... lol je dirais ;)

MAIS (parce qu’il y a un mais) il a au moins eu ce courage, et même cette honnêteté, de dialoguer. Ce qui est tout de même exceptionnel aujourd’hui dans ce petit monde.

Répondre à ce message

De droite, de gauche ou du centre (le juste milieu restant toujours le trou du cul), un intellectuel n’est jamais que quelqu’un qui analyse avant de ressentir.
Madame Ephrussi Michu, concierge au n° 12.

Répondre à ce message

Je ne connaissais pas Rivarol mais ça donne envie.
Excellent article fin, bien écrit et très intelligent !
A propos de la Shoah, l’auteur n’a pas tord quand il précise que ce n’est qu’un instrument de l’idéologie dominante, mais je pense qu’Alain en parlait plutôt comme du mythe fondateur de cette idéologie.

Répondre à ce message

Très bel article critique.
La presse honnête et libre reprendrait-elle du poil de la bête !?
En tout cas à sa lecture il apparait clairement que Naulleau nous fait ici une synthèse de ce que Michéa appelle la neutralité axiologique et de ce que cet article présente à raison comme l’humanisme confortable.

Répondre à ce message

Rivarolien depuis 20 ans, je me permets de signaler que cet article n’a rien d’infamant, contrairement à ce que certains affirment. On n’est évidemment pas obligés d’être d’accord sur tout. Seul l’essentiel compte. Et Martin Peltier (= Hannibal) l’a bien compris, à travers ce portrait plutôt flatteur de l’ami Soral.

Répondre à ce message