Philippe Val a désigné son coupable : le Net, ce déversoir de haine, où règnent l’impolitesse et la sauvagerie. Pas de chance, l’attaque la plus virulente lui est venue de l’Express, dans un dessin de Plantu le caricaturant en nazillon.

Lassé de « l’affaire » qui l’oppose au dessinateur Siné, le directeur de Charlie-Hebdo a décidé cette semaine de détourner l’attention de ses lecteurs vers un sujet subalterne… mais très en phase avec l’air du temps : le grand méchant Net.

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