En politique, il existe un droit à mentir, surtout en période électorale. On exagère son bilan, on gonfle ses promesses, on bidouille des chiffres, c’est de bonne guerre, c’est une tradition française. On ne peut pas appeler ça du mensonge, c’est plutôt de l’enjolivement. Pécresse, par exemple, pour aller en finale, est prête à faire croire qu’elle est une femme de poigne qui va protéger le peuple...
#Macron doit accepter un débat, estime #Pécresse
« Il doit rendre compte de son bilan qui est calamiteux, de l'état de notre école, de l'état de notre hôpital, de l'état de notre justice, de la violence qui monte dans les rues, de l'immigration (...). » https://t.co/PnlxWAubhc
— Le Figaro (@Le_Figaro) January 30, 2022
Une certaine dose d’exagération est acceptable, parce que dans le combat, les coups bas sont relativement permis. Mais ce que pratique Véran est un autre sport, autrement plus dangereux, parce qu’il fracture l’esprit des petites gens qui n’ont pas nos moyens de défense conceptuels, et par « nos » on comprend la soralosphère.
Véran est capable de balancer des trucs effrayants, au sens propre et au sens figuré, sans aucune considération pour la vérité, et pour les conséquences de ses paroles. Il a fait l’objet d’un florilège qui, dans n’importe quel autre pays pratiquant une vraie démocratie, lui aurait valu l’éjection directe. Dans des pays plus durs, 100 coups de bâton. Dans d’autres, on pense à l’Arabie saoudite, un sort plus brutal.
Un petit bêtisier du très variant Olivier Veran pic.twitter.com/RYA3lno19t
— VERITY France (@verity_france) January 30, 2022
Chaque jour, le ministre du Big Pharma se dépasse, dans le mensonge le plus pur, qui est plus que de l’exagération, ou de la sous-information, qui pourrait se comprendre d’un point de vue politique. Non, il ment sciemment, comme un criminel endurci. Il ment et il sait qu’il ment, ce qui est pire. Écoutez-le réagir sur la découverte de faux pass, qui sont la réponse du berger insoumis à la bergère tyrannique :
Notre démocratie est tellement à bout de souffle (on a préféré « à bout de souffle » à « pourrie », trop connoté années 30), que les ministres de la Santé, depuis Bachelot, sont tous plus ou moins liés au Big Pharma. Et ils savent se protéger, comme le raconte Branco :
Juan Branco @anatolium : "Agnès Buzyn a monnayé son silence" #Covid19 #legiondhonneur #OMS #Buzyn @agnesbuzyn @WHO @GETTRofficial
Replay : https://t.co/OA3wGXiwPh pic.twitter.com/hZg3NBcPBR
— Les Incorrectibles (@Incorrectibles) January 30, 2022
On peut être sûrs que Véran, avec tous ses mensonges, a déjà préparé sa défense. Il va en avoir besoin, parce que la colère monte de partout.
Ma belle sœur a fermé ses yeux pour la dernière fois cette nuit. Elle laisse 2 ados de 15 et 18 ans qui sont inconsolables. Elle avait 38 ans, vaccinée 3 doses il y a 2 semaines, elle a fait plusieurs AVC et un arrêt cardiaque.
Le réèl est ignoble. Paix à son âme.— Mélanie #FringeMinority (@Retourlibre) January 31, 2022
Toute la hiérarchie de la Santé ment, on dirait. Regardez Hirsch :
@ChdOrnellas : "Martin Hirsch explique que les non-vaccinés doivent payer leurs soins car l'état de l'hôpital serait de leur faute. Un document de l'AP-HP révèle que la majorité des déprogrammations ne sont dues pas au covid, mais au manque de personnel."#DaccordPasDaccord 30/01 pic.twitter.com/dumRtounHo
— Etienne Faucher (@EtienneFaucher3) January 31, 2022
On est où, là ?