espérons que l’épidémie, et les consignes gouvernementales feront découvrir aux gens aux élèves et aux parents et aux enseignants les vertus de l’enseignement par correspondance
Etudier par correspondance, à la maison plutôt que collectivement à l’école présente plein d’avantages, individuellement, et pour la société !
On travaille à son rythme, à son heure, avec une certaine liberté, et non forcé y compris les jours où on n’est bon à rien et qu’on perd ses journées de classe et les sujets enseignés.
Dialogue "à tête reposé" avec les textes de ses profs, avec son correcteur.
Le prof et les correcteurs peuvent entretenir un suivi plus soigneux, plus réfléchi, de leurs élèves.
Et à notre époque où on parle tant de violence scolaire : plus de violence !
le prof ne risque plus de se faire insulter , ou recevoir des boules puantes (ou des couteaux !) ; par écrit, même les énervements deviennent plus réfléchis et plus calmes !
Comment peut-on dire qu’un enfant non scolarisé ne développe pas sa sociabilité ? Celle pratiquée à l’école, comme celle de la prison, favorise des comportements malsains ou pathologiques
Egalement plus de bandes, d’effet de foule, de racket ; plus de conformisme étouffant parmi les élèves, plus de pression psychologique poussant au port de signes commerciaux ostentatoires !!.
sans compter que, comme dit une commentatrice sur Altermonde-sans-frontières :
"Entre le dépistage du délinquant en maternelle et le flicage biométrique des ados au collège, l’école va devenir un lieu dangereux pour les gamins... "
Diversité, enseignement plus facilement adapté à chaque situation, à chaque personnalité (surtout qu’il n’est pas question de l’imposer comme modèle obligatoire terrorisant au contraire de l’autre ! donc ceux qui aprennent mieux en groupe assis 6 h par jour sans bouger devant un prof n’ont qu’à continuer comme ça.)
Quand on pense à tous ceux qui "échouent", mal notés, mal-jugés, "paresseux" ejectés ou orientés vers des dépottoirs scolaires, ceux qui sont devenus des révoltés, ou dont la personnalité a été perturbée ou étouffée par la "caserne" scolaire, et dont le cursus aura été un gâchis, une épreuve, d’où souvent ils n’auront sortis que la vie brisée, et qui n’auraient pas tournés comme ça si ils avaient pu étudier à la maison, librement par correspondance.
Economie de frais de transports, de frais cantine, et surtout de l’immense gâchis de temps perdu à tout ça, et à attendre, et à devenir passif (ou au co
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