La Révolution quenellienne qui se répand actuellement en France réjouit le cœur d’un survivaliste comme moi, au fond de mon Québec.
Je suis bien entendu admiratif du travail de Dieudonné M’Bala M’Bala, l’inventeur du geste de la Quenelle et d’Alain Soral qui, l’un par ses intelligentes pitreries qui visent juste et l’autre par un argumentaire solide et d’abondantes démonstrations, dénoncent une République qui n’en est pas ou plus une, la vanité d’une démocratie représentative qui ne représente pas le peuple mais des lobbies très influents, la puissance cachée des frères la truelle et le pillage des richesses matérielles et culturelles de la France par des politiques traîtresses qui la livrent en pâture aux banques et aux oligarques.
Cette quenelle est un geste vulgaire qui dénonce une plus grande vulgarité : il faut bien combattre le feu par le feu… Néanmoins, elle dénote le ras-le-bol d’une partie grandissante du peuple français, les « de souche » comme les « beurs » et les « blacks ».
Ce ras-le-bol cache la frustration d’être administrés par des roi-nègres pour le compte et les bénéfices de leurs maîtres, des puissances financières privées étrangères.
Les Français ne dirigent plus la France : elle est gérée en fonction de plans tracés de longue date à l’étranger, comme le démontre Pierre Hillard dans ses travaux.
Une faible part des Français le sait, beaucoup commencent à soupçonner quelque chose. Cela doit continuer.
Tout ça, c’est le contexte global. À l’échelle familiale ou individuelle cependant, ça n’augure rien de bon.
Si la France, la vraie France, se reprenait en main, il ne fait aucun doute que la situation sécuritaire, les approvisionnements, les services publics seront temporairement mis à mal. Il ne fait non plus aucun doute que les larbins au pouvoir s’enfuiront vers New York, Londres, Tel Aviv ou vers des destinations plus exotiques pour les déviants en place.
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