Si le capitalisme financier a moyen de se faire un petit billet (de plusieurs dizaines de milliards) à l’occasion de la crise ukrainienne, il le fera, et sans vergogne. C’est pourquoi, de partout, on voit les prix monter, le prix à payer des « cadeaux » de 2020-2021, quand l’État distribuait à tous vents après avoir empêché les Français de travailler, sous prétexte d’une pandémie montée en mayonnaise à partir d’une grippe augmentée en laboratoire.
Nos gouvernants ont créé de la dette, sciemment, ce qui explique l’inflation actuelle, et nous allons rembourser beaucoup plus que les 200 milliards d’aides et de prêts. L’État néolib (oxymore) s’est lourdement endetté, sans qu’on le lui demande, et il nous le fera payer très cher. Déjà, l’augmentation de 50 % en deux ans des carburants va rapporter en taxes des dizaines de milliards à l’État :
Comment lancer la pénurie alimentaire ? Facile, il suffit de l’annoncer
pour que les étals se vident !
Mais dernièrement, ce n’est plus que l’essence qui inquiète : face à la flambée du cours des matières premières, on craint également des pénuries alimentaires, qui seraient des répercussions directes, elles aussi, de la guerre en Ukraine. Car l’Ukraine et la Russie sont de grands producteurs de blé, de maïs, de tournesol et d’engrais à l’échelle mondiale. (planet.fr)
Cette ponction lombaire douloureuse pour les Français de la classe moyenne dite inférieure (on ne parle même plus des pauvres, complètement hors champ médiatique) sera suivie d’une hausse générale des prix et d’une bonne petite pénurie, dont la fameuse pénurie alimentaire, que Le Monde avait souhaitée, pardon, lancée, en 2020 dans un article aussi dangereux que prémonitoire, très dans la ligne de la psychose de l’époque. Cette fois-ci, le covid ne faisant plus d’effet, c’est au tour de la guerre ukrainienne d’expliquer ce nouveau coup du sort, le capitalisme financier sachant se planquer derrière tout ce qui nous arrive, généralement en mal.
Tout est fait, depuis le terrorisme islamiste (sous faux drapeau de Daech) et le terrorisme covidiste (sous faux virus archimortel), pour que les Français se sentent en guerre permanente. D’ailleurs, notre Petit Dictateur l’a dit : nous sommes en guerre. S’il est en guerre contre nous, avec son équipe qui contrôle l’État, alors la majorité des Français est en guerre contre lui. Les coups commencent à pleuvoir, des deux côtés.
Prochain coup du pouvoir : le blé, donc le pain, les pâtes, la base de la nourriture des 12 millions de Français fourrés dans la catégorie « pauvres ».
Si le prix du pain est bloqué pour des raisons politiques, celui des pâtes ne l’est pas.
D’accord, c’est en Belgique, mais ça sent le laboratoire pour toute l’Union. Avec Lagarde et Leyen, le duo de sorcières mondialistes, il faut s’attendre au pire. Au fait, qui disait que les femmes en politique allaient adoucir la vie des gens, être moins connes que les hommes ?
Ceux qui aiment bien flipper peuvent aller lire l’article de planet.fr, et se précipiter dans le premier supermarché pour dévaliser ce qui reste.
Face au conflit russo-ukrainien, la demande de certains produits grimpe en flèche depuis plusieurs jours. Pour éviter des pénuries, certains supermarchés chez nos voisins européens ont décidé de mettre en place un système de rationnement pour plusieurs produits. La France pourrait à son tour appliquer ces restrictions. La liste des aliments concernés.
Les autres se souviendront de la panique de 2020, quand plus rien ne restait dans les rayons, et que tout est revenu trois jours plus tard. On a une pensée pour ceux qui ont rempli la chambre du petit avec 150 rouleaux de PQ... Ce n’est évidemment pas la production céréalière russo-ukrainienne qui va mettre en péril l’alimentation des Français, mais ça servira de prétexte à une nouvelle forme de terrorisme, disons l’alimenterrorisme.
Les complotistes survivalistes vont hurler à la famine organisée, et se réfugieront derrière les murs de leur petite maison, en paille, bois ou brique, avec trois mois de vivres. Mais après ? Cela ne changera rien à l’affaire pour la collectivité, qui découvre sans la comprendre d’emblée la malignité de la dominance.
En tout cas, il n’y aura jamais pénurie d’arnaques, de mensonges et de manipulations. De ce côté-là, les Français ont à bouffer pour mille ans, moins, on l’espère. Et puis la hausse des prix n’est pas perdue pour tout le monde : nos multinationales vont se gaver ! C’est ça, le ver solitaire national : des grandes entreprises qui grossissent dans un pays qui maigrit.