Est-ce l’effet fin de saison ? Les altérations mentales du confinement/déconfinement ? La hausse des audiences de Face à l’info qui monte à la tête ? L’ensoleillement algérien sur un crâne sans protection ? La proximité de la sensuelle mulâtresse Christine ? La perspective de devenir président de la République franco-israélienne en 2022 ?
Zemmour a perdu une roue le 29 juin 2020 dans l’émission présentée par Christine Kelly en assimilant le vert des écolos au vert de l’islam. Autant dire que ceux qui ont remporté ces élections municipales sont des antisémites en puissance. Grégory Doucet, le nouveau maître de Lyon, prépare-t-il des bûchers de juifs ?

Pourtant, et cela devrait rassurer Riton, les écolos français ont depuis longtemps chassé non pas les antisémites, mais les antisionistes de leurs rangs. Il n’en reste plus beaucoup de survivants, et ceux qui restent sont discrets comme les pierres. Il reste néanmoins dans la véritable extrême gauche française une frange irréductible qui considère que le pouvoir sioniste est un impérialisme et en ce sens, il doit être combattu avec radicalité. Mais pour l’instant, la radicalité, elle est chez les sionistes, et plus particulièrement chez les nationaux-sionistes, qui ne se sentent plus pisser !

Aussitôt après ce dérapage incontrôlé, les réseaux sociaux se sont emparé de la comparaison risquée de l’essayiste. Florilège !

La petite phrase débile de Zemmour fait écho à la sortie encore plus débile de Chauprade :

Où l’on voit se dessiner très nettement un axe Onfray-Zemmour... qui remplace l’axe BHL-Zemmour censé contrôler tout le spectre politique.

Chers lecteurs, à (très) bientôt pour de nouvelles sorties aventureuses du national-sionisme !