Mohammed Merah était un jeune paumé, issu de l’immigration maghrébine récente, fratrie de 5 gosses, abandonnés par un père reparti au bled, pauvreté, frustration, élevé dans la rue... Des milliers comme lui, hésitant entre religion et délinquance qui finissent par la case prison et se croient devenus des hommes par imitation du parcours carcéral des caïds. Sauf que cette fois-ci, le voyou de quartier a eu accès à des armes et à la formation qui va avec. Son avocat, christian Etelin dont on ne peut déterminer s’il est conscient de ses propos ou s’il va à la soupe, rejette sur le dos du peuple Français la responsabilité du parcours de son ex-client, montrant par là qu’il a le sens de la com et "d’un certain profit". Nous avons les ingrédients du drame ; un crétin violent formé au maniement des armes, une lutte sourde pour le contrôle des banlieues Françaises par l’argent du Qatar et la re-islamisation d’esprits faibles, le rôle des gouvernements israéliens dans le drame palestinien, la frustration entretenue par les ligues anti-racisme dans la non-intégration des jeunes issus de l’immigration récente et l’immigrationisme destructeur voulu par le grand patronat et cautionné par elles, la récupération politique et médiatique pour stigmatiser de force et a contrario le front national.
Quand aux médias, travail habituel d’exploitation d’un filon vendeur et d’une information vendue.