Mitterrand s’est rebellé face au lobby à la fin de sa carrière et de sa vie, en refusant de cracher sur la France lors des cérémonies mémorielles. Il faut lui reconnaître ça. Mais auparavant, il s’était toujours soumis par carrièrisme, amenant avec lui des Jack Lang, Jacques Attali, Laurent Fabius, Julien Dray et autres répugnants personnages dans les hautes sphères de l’Etat. Sans parler de la dérégulation de la finance, l’européisme, l’atlanto-sionisme, l’"anti-racisme" piloté qui triomphaient sous ses deux mandats...
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