La femme vers la 19ème minute au sujet de la garde des enfants, voilà sa revendication féministe : "Y’a pas de raison que ce soit la mère qui garde toujours les enfants car elle aussi a droit à une carrière et l’état devrait fournir davantages de crèches pour prendre en charge les tout petits jusqu’à l’âge d’entrer au jardin d’enfants."
On voit bien que pour elle il y a une hiérarchie des valeurs entre travail salarié et maternité, et le travail salarié est bien préférable. Elever son enfant, c’est la galère, c’est chiant, ce n’est pas quelquechose dont on peut être fière et se vanter aux copines, c’est pour ça que l’état devrait nous permettre de nous débarrasser des enfants en bas âge dans des crèches.
On voit bien qu’elle a avalé la propagande féministe sans mâcher, sans réflexion. Ne pas oublier que les Américaines fondatrices du mouvement -en particulier Gloria Steinem qui a fondé le mag Ms- étaient des agents de la CIA opérant une "psyop" et que le féminisme est, comme le mouvement homo, une marche vers la destruction de la cellule familiale sur laquelle est fondée la société, afin que l’individu élevé dès le plus jeune âge par l’état (comme le souhaite la femme de la vidéo), soit endoctriné, servile et déraciné sans allégiance à une famille, afin de faciliter l’avénement du Nouvel Ordre Mondial.
Il n’y a que dans l’espèce humaine que l’instinct maternel est subjugué par le matérialisme. Comment une femme peut-elle confier son tout jeune enfant à un tiers la conscience tranquille, d’autant plus que les pédophiles et les désaxés sont attirés par les professions en contact avec les enfants. Et pendant ce temps madame réalise son potentiel intellectuel à travailler sur des affaires de commerce de marchandise. Oh ! Mais pas n’importe quel produit de m---de !
Rappelez-vous la pièce de Molière, Les Femmes Savantes, comme elles se ridiculisaient en suivant toutes les modes de langage qui passaient et ne pouvaient faire un raisonnement. Il serait bon de la relire (je vais le faire !) et en apprendre quelques passages pour au besoin en discuter avec ces dames. Il y a aussi ce film culte "Swept Away" (mis en scène par une Italienne) qui donne à une femme riche échouée sur une île déserte avec son larbin, le prétexte d’assouvir son besoin de soumission sexuelle à un homme. A méditer aussi.
C’est l