Voilà des question pertinentes, qu’il serait important de voir approfondies par les autorités locales, ou un journaliste d’investigation. Mais ne rêvons pas trop.
En tous cas l’histoire du fusil qui a servi à tuer, et qui se retrouve dans le coffre de sa voiture... elle est pas mal, celle là.
Pour ma part, je reste pantois quand je vois le Président Obama fondre littéralement en larmes devant les caméras quand il évoque ce drame.
Il aurait pris une mine grave, pleine de compassion, c’aurait été crédible.
Je trouve que ces scènes surjoués font perdre tout réalisme à la situation.
Admettons, ce qui s’est passé est révoltant, scandaleux, ignoble, dégueulasse, ne devrait jamais arriver, tout ça...
Mais il connaissait quelqu’un dans cette école ? Personne, il n’en n’a rien a péter.
En tous cas, pas de quoi pleurer.
Idem concernant des gens qui habitent dans des Etats voisins d’autres, qui se sentent touchés par ce drame, qui font des kilomètres pour "voir" et pleurer avec les familles.
Je ne parle pas des familles des victimes, des voisins, des amis ; eux, c’est bien normal qu’ils soient effondrés, je le comprends tout à fait, compte tenu de l’ignominie de ce drame.
Autre chose, je suis navré de voir que certains journalistes véhiculent des informations non vérifiées, comme chercher le profil psychologique d’un type sur sa page Facebook, et balancer ça aux infos. Ça peut ruiner la vie de quelqu’un pour une affaire d’homonyme.
Et c’est probablement une des raisons qui font qu’il y a autant d’informations avancées puis démenties, polluantes sur des affaires aussi graves.
Les parents ont le droit de connaitre la vérité, les citoyens ont le droit de savoir dans quel monde on les oblige à vivre.
Ces journalistes boutonneux devraient être sévèrement punies pour négligence, amateurisme, lorsque l’on voit qu’ils jouent ainsi avec la vie des gens.