Chaque épidémie a été suivie d’une grande prospérité pour les peuples, en peu de temps la population diminuait sans que soit atteint le bâti, les manufactures, les ressources agricoles, moins de population disposait d’autant. La lutte pour vivre s’en trouvait amoindrie.
Au contraire, chaque accroissement de la population est source de tensions, sur le travail, sur la ressource et sur le foncier insuffisant (les problèmes de l’Afrique après la décolonisation ne proviennent que d’une perpétuelle tension démographique que les ONG sous prétextes humanitaires n’ont fait qu’aggraver). Entre 1950 et 2010, la population française a cru de 70%… je vous laisse apprécier la « modération » de cette hausse et les conséquences sur le bétonnage du pays.
Aucun immigrationniste ou nataliste n’a sa place dans une éventuelle assemblée d’humanistes.
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