Fut un temps le pauvre était celui qui mangeait ce qu’on appelle aujourd’hui de la qualité : le pauvre était le petit péquenaud des champs, il avait donc sans avoir besoin d’argent tout ce qu’il fallait pour se nourrir avec des produits naturels aussi bien en légume qu’en viande. Aujourd’hui, le pauvre est totalement détaché de ce qui le liait directement à la terre. Maintenant, les produits 100% naturels sont totalement hors de prix pour ces personnes qui se nourrissaient sainement auparavant, maintenant les gens qui achètent à la ferme ou les produits bio sont les bobo branchouilles. Ces mêmes bobo branchouilles qui par le passé se moquaient du bouseux qui vivait à la campagne. La boucle est malheureusement bouclée.
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