Quand est-ce qu’on va donc se mettre dans la tête que le judaïsme n’est pas une religion, non plus qu’une race, mais une sorcellerie, une sorcellerie dont le rituel principal fut toujours, depuis la plus ancienne Égypte, la mise à mort de Dieu (Osiris) en vue du mariage de l’âme avec l’Univers ? Est juif quiconque a pour mère (biologique ou adoptive, peu importe, la conversion au judaïsme étant une initiation consistant en la soumission du novice à un an de matriarcat juif) une juive, ou mieux encore, idéalement, une sorcière. Même si une sorcière est noire comme l’ébène, ainsi qu’il arrive souvent dans ma culture d’origine Haïti, elle ne peut engendrer (ce qui est peu fréquent, vu son égoïsme) que des juifs et des juives. On appelle sorcière une femme qui a compris que l’argent c’est le fluide qui promis en gage à la femme lui procure son orgasme et dès lors n’a plus besoin d’homme physique ni pour jouir ni pour prospérer, un être invisible lui suppléant, Seth (Satan) qui comme un gros mafieux vide les bourses de tous les hommes à la ronde en répandant les mauvais sorts que sa bouche profère, l’ensemble de l’Univers matériel étant la somme de tous les sorts lancés par toutes les sorcières de cet Univers qui ont toutes les même époux.