Bien qu’évoquant quelque chose du contexte de nos sociétés, le présent texte pue la mort. Beaudelaire m’a toujours fait chier. Un poète à proscrire ou à prescrire avec du valium.
Je ne retiens de lui que les deux dernières strophes de la fin de son poème ’’les Phares’’, et encore... à condition d’en changer quelques mots :
’’C’est un cri répété par mille sentinelles,
Un ordre renvoyé par mille porte-voix ;
C’est un phare allumé sur mille citadelles,
Un appel de partisans cachés dans les grands bois !
Car c’est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage
Que nous puissions donner de notre dignité
Que cet ardent courage qui roule d’âge en âge
Et vient jaillir au bord de votre éternité !’’
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