L’antisémite, révisionniste, antirépublicain, plagiaire, partouzeur et cocaïnomane Thierry Ardisson insulte et diffame Alain Soral
29 octobre 2013 22:33, par Pierre Ghi
Naulleau est adepte de l’incitation, incitation à la révolte née de la vexation (on dit souvent que la vérité a le pouvoir de fâcher l’orgueil mal placé) qui tourne à la violence et se diffuse par la provocation. Qui utilise la provocation s’attend à une réaction proportionnelle au degré de violence qu’il désire atteindre et connaissant un peu le caractère d’Alain Soral et la perversité dont est capable Naulleau, cela peut aller très loin. Apparement, l’échange de S.M.S entre Naulleau et Soral n’a pas comblé l’appétit de provocation ni la soif de violence de l’adepte de l’incitation et du coup, il a cherché à compenser ses frustrations, il a tenu absolument à se faire plaisir, il s’est offert sa séance de masturbation mentale et a eu son orgasme littéraire.
Face à un provocateur qui se nourrit de la violence qu’il produit et qu’il trouve si excitante et si jouissive (un genre de Dominique Strauss-Kahn de la critique littéraire qui a du jus amer à répandre), il ne faut pas s’attendre à avoir un dialogue qui aboutisse à un résultat valorisant, il vaut mieux se préparer à un échange à la hauteur du caniveau, ce qui suppose d’avoir un degré de perversion au moins égal à celui de Naulleau voire supérieur à celui de Naulleau si l’on veut satisfaire pleinement l’adepte de l’incitation sans éprouver un sentiment de honte d’être tombé aussi bas. Alain Soral a t’il intérêt à se souiller au point de faire jouir Naulleau à un degré de puissance qu’il ne pouvait pas soupçonner ? Je lui laisse le soin d’en décider par lui-même mais à sa place, j’opterais pour le respect de ma propre philosophie de vie et de ma propre intégrité face à un Naulleau qui se sent fort parce que intégré dans un système politico-idéologico-financier encore plus incitateur (provocateur) que lui.