Circulaire du 17 février 2003 : "Education à la sexualité dans les écoles, les collèges, et les lycées" (Extraits)
" A l’école primaire, l’éducation à la sexualité suit la progression des contenus fixée par les programmes pour l’école. Les temps qui lui sont consacrés seront identifiés comme tels dans l’organisation de la classe. Ils feront cependant l’objet, en particulier aux cycles 1 et 2, d’une intégration aussi adaptée que possible à l’ensemble des autres contenus et des opportunités apportées par la vie de classe ou d’autres événements. Aussi, à l’école, le nombre de trois séances annuelles fixé par l’article L. 312-16 du code de l’éducation doit-il être compris plutôt comme un ordre de grandeur à respecter globalement dans l’année que comme un nombre rigide de séances qui seraient exclusivement dévolues à l’éducation à la sexualité"
(...) La prise en charge : " À l’école primaire, c’est aux maîtres chargés de classe qu’incombe la mise en œuvre de l’éducation à la sexualité dans le cadre des enseignements, avec le tact qui s’impose et en recherchant la plus grande cohésion avec l’ensemble des apprentissages. Le cas échéant, les maîtres pourront solliciter conseils et assistance auprès de l’infirmière ou du médecin scolaire formés à cet effet. Les maîtres porteront une attention toute particulière à la parole de l’enfant en vue de l’aider à discerner ce qui, dans les rapports qu’il entretient avec ses camarades et avec les adultes, est acceptable ou ne l’est pas.
(Texte intégral)
c’ est la circulaire qui dit le contraire...