Je souris comme Monsieur Vernochet...
Là il ne s’agit plus de petit jeu entre milliardaires prédateurs mais de politique de puissance...
Nous ne sommes plus en 1999 et il semble que nos eurocrates manquent de lucidité quant à l’ex URSS... Les Russes sont bien informés sur la réalité "démocratique" de l’Europe de l’Ouest et susciter là-bas une révolution vert caca d’oie ou de toute autre couleur relève d’une politique suicidaire... Il faut avoir lu Sun Tzu pour comprendre que l’OTAN et ses esclaves européistes n’avanceront que tant qu’ils ne rencontreront pas de point dur, le blindage d’un T-80 par exemple. Là, ils feront prudemment deux pas en arrière.
L’avenir appartient donc à la Russie qui joue chez elle et non pas sur un quelconque théâtre d’outre-mer. La partition est donc certaine, sous une forme ou sous une autre.
Les Ukrainiens seront les dindons de la farce et il serait souhaitable d’opérer de façon à provoquer leur abandon par leurs mentors germano-bruxellois, une belle humiliation qui leur prouverait bien où se situe leur avenir : les Russes de 2010 ne sont pas les soviétiques des années 20 et 30.
Quant à la France dans cette affaire, c’est la politique de la grande gueule et de la petite bite déjà vue en Syrie : oui, il y a effectivement de quoi se marrer ! Fabius et Hollande comiques de l’année ?