Aux États-Unis, le scepticisme antivaccin touche le grand public
6 avril 2014 12:25, par goy pride
Ce n’est qu’après l’insistance de son ex-mari qu’elle a accepté que sa fille soit vaccinée contre la varicelle et la rougeole, mais pas la polio
Décision complètement aberrante ! En effet quitte à faire vacciner ses gosses autant le faire pour des maladies dangereuses et potentiellement invalidantes, or la varicelle et la rougeole sont des maladies infantiles bénignes qui ne valent absolument pas de prendre le risque de faire vacciner son gosse. De plus certains médecins jugent que les maladies infectieuses infantiles bénignes jouent un rôle important dans la maturation du système immunitaire de l’enfant...certes ces maladies peuvent dégénérer vers quelque choses de grave, mais tout dans la vie à ce potentiel ! On peut crever en tirant son coup, en faisant une randonnée en VTT, en mangeant une tranche de fromage de chèvre, en se choppant un rhume...ce qui compte c’est le rapport bénéfice risque !
Cet article est truffé de contre vérités et est très vraisemblablement une commande pro-vaccinale avec les mêmes ficelles : une anti-vacciniste irrationnelle ("je vaccine contre la rougeole mais pas contre la polio...je crois en la nature")...large présentation de l’argumentaire fallacieux des pro vaccins...
Nous ne refusons pas la vaccination pour des raisons philosophique, de foi...mais parce que nous avons identifié derrière cette pratique une propagande massive et des mensonges (manipulations d’études, de statistiques...) et qu’en dépit de cette savante escroquerie nous avons été capables d’identifier que le rapport bénéfice risque de la vaccination était négative.