Quand l’État réprime les alternatives aux antibiotiques dans l’agriculture
15 mai 2014 16:04, par Rom1Déjà je veux dire mon admiration et mon soutien aux paysans qui nous nourissent, et travaillent très dur pour souvent des clopinettes ! Ca montre bien leur passion .
Cet article me fait comprendre un truc auquel je n’avais jamais pensé : ce système d’aides qui en gros ne permet pas aux agriculteurs de gagner suffisamment d’argent mais de survivre grace aux financement.
En fait c’est pour les tenir par le porte monnaie, et les réduire au silence ! Très habile !
Il est primordial de soutenir les agriculteurs, petits producteurs. Le but de tous les lobbyes européens c’est de vendre des produits pour les industries agrochimiques. Et fermer les petits producteurs pour les grands agroalimentaires, histoire d’ouvrir de grandes usines bien rentables , ou les animaux sont traités de manière infame !
Les paysans sont fragiles du fait de leur situation économique et de leur isolement. heureusement qu’ils sont tétus !
Si on laisse faire dans quelques années ils seront tous ruinés ou suicidés ou les deux. C’est gravissime. Ensuite on sera les esclaves de grands groupes qui nous feront manger de la pure merde.
Tout c’est grace à la gentille union européenne des lobbys. Merci ! il faudrait idéalement réagir très très fort a chacune de ces attaques. Par exemple dans mon coin il y avait une éleveuse qui faisait ses produits laitiers, faisait des tournées de lait (excellent, impossible de trouver ça dans un supermarché). Elle a du arrêter à cause des normes imposant toujours plus de pression sur elle et impossibles à remplir.
C’est pareil pour les petits labos de biologie de ville. Des grands groupes font pression à l’UE, qui pond des lois amenant leur fermeture. Histoire d’ouvrir de grands palteaux techniques centralisés, bien rentables. La combine est juteuse. Par la suite si leurs tests sont pourris personne ne pourra les contrecarrer. (donc gros problème de santé publique. On le voit déjà pour la maladie de Lyme)
Tout ça me met dans une rage folle, on pourrait presque parler de génocide. Dans un monde idéal cette femme serait montrée en exemple et formerait d’autres éleveurs pour qu’ils apprennent à faire pareil. D’ailleurs si on faisait ça la France exporterait de manière massive à l’étranger, les gens veulent de plus en plus manger des produits de qualité. Et avec notre réputation on serait les rois du pétrole, l’avant garde dans tous ces domaines.