Après l’Argentine, les faillites d’État entrent en terrain inconnu
18 juin 2014 13:21, par syd
Ce que j’ai surtout noté dans le commentaire de la journaliste, c’est l’emploi du mot souverain :" .....de cette dette souveraine...". Comprenez que le peuple n’est pas souverain mais que sa dette est souveraine, elle ! Je proposerai donc aux argentins d’imprimer pour cent mille milliards dans leur monnaie et de le rendre aux banksters. Souverain ou pas ?