Les conséquences vertigineuses de l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme sur la GPA
27 juin 2014 10:01, par listener
Je me demande s’il ne faut pas aller chercher du coté de l’article 16 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui, après tout, énonce un principe surpa-constitutionel : "toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée n’a point de constitution". Or l’europe n’a pas et ne peut avoir de constitution, fédérale ou autre. Cela reste un "machin" informe et sans règles qui vit des "coups de majesté" permanents, comme on le voit puisque, de manière étonnante, on ne sait même pas qui décide de la désignation du président de la commission, des chefs d’états ou du parlement ! Les traités de sont paraît-il pas clairs et en effet ! La Cour Européenne des droits de l’homme n’est que l’émanation d’un traité international signé entre chefs d’états, lequels traité est supra-législatif et infra-constitutionnel. Mais l’europe et tous ces grands et petits "machins" alentour, est un monde où la séparation des pouvoirs n’est même pas un vieux souvenir, on n’y sait même pas ce que c’est. Or là où elle n’est pas, il y a risque de tyrannie. Je pense que c’est tout de même important d’envisager les choses sous cet aspect le jour où des pontifes arrogants, prétentieux, qui se prennent pour des juges américains, venus d’on ne sait où, se permettent de régler même le droit civil de notre "cher et vieux" pays. Tout cela est le résultat d’un longue démission des élites (ou pseudo-élites) françaises. "Si j’étais de gouvernement", comme on dit, je mettrais ces "trente-tyrans" de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (en tous cas pour les juges français), en état d’arrestation et les déchoirais immédiatement de leur nationalité ou les assignerais en résidence à Las Vegas comme consul d’Andorre pour y célébrer des mariages. Vlan.