Excellent et terrible résumé de la situation par Pierre Dortiguier.
Quand même, la question se pose : comment la religion juive peut-elle avoir été ainsi déviée en ce genre de monstre “merkavaélique” ?
Et c’est là que les commentateurs comme Dortiguier deviennent décevants. Car ils ont tendance à maintenir un flou protecteur, un “no-man’s land réflexif” entre judaïsme et sionisme, afin de ne pas être accusés d’antischtroumpfisme.
Dès lors, c’est à chacun de mener l’enquête sur la nocivité potentielle, voire pérenne, du “logiciel” théologico-politique hébraïco-juif...
Mais les enjeux et l’urgence sont tels, aussi l’hystérie montante, que chaque membre de “la communauté-problématique-de-n’exister-pas-tant-elle-s’évère-proportionnellement-omniprésente” risque fort de se retrouver contraint - par ses amis et relations, dans telle ou telle situation, etc. - de s’expliquer à cet égard : cautionnez-vous les menées abjectes d’Israël ?
- Si oui, courez y faire votre alya !
- Si non, afin de vous éviter la tentation d’être, en pays-goy, un sayan, pourriez-vous préciser votre rapport à cette religion, à cette communauté, à ses réseaux d’influence... ?
On n’est pas loin d’un retour de l’inquisition, mais cette fois informelle et citoyenne, aussi du supplice de la question, mais dans le cours d’une simple discussion.
Faut-il le déplorer ? En tout cas c’est très “tendance”...