Est du sang et des vies,
Des morts à l’infinie,
Est tous le monde est ennemi,
Sans aucun répit,
Ils vivent la tyrannie,
depuis des décennies,
Ils n’ont plus de famille,
On perdue leurs amis,
Les enfants qui crient,
de douleurs, d’agonie,
Des soldats endurci,
Le regard obscurcie,
Est tous ces incendies,
Est le ciel qui rougie,
Des Immeubles détruits,
La sirène retenti,
Est leurs vêtements tous gris,
En lambeau leurs habilles,
Est des corps enseveli,
Sous des tonnes de débris,
Est le peuple qui prie,
Face a cette folie,
Est la démocratie,
Qui n’a plus d’érudit,
Est toutes ses colonies,
Jusqu’en Cisjordanie,
Leurs terre qui rétrécie,
Ils ont tout envahi,
L’embargo le mépris,
Ils n’ont plus de patrie,
Des civiles qui fuient,
Sous un ciel noirci,
De New York à Paris,
Des médias pervertis,
Les assassins embellie,
Par toute ses calomnies,
Leurs religion salit,
Par un tas d’abrutis,
Est pendant l’accalmie,
celui la naquit,
D’une mère sans mari,
Emplie de nostalgie,
Ils finira aigri,
sans aucune thérapie,
Et la démagogie,
et la Voyoucratie,
Est le peuple qui oublie,
tous ses tirants inassouvi,
Est cette après midi,
le bilan s’alourdit,
Est malgré l’insomnie,
Les frappes s’intensifient,
Mais le peuple survie,
face a cette tragédie,
Leurs corps a maigris,
mais ils restent insoumis,
Les brigands réunie,
je les vois qui rient,
Je ne sais quelle rêverie,
nourri cette tuerie,
Je ne sais quelle ineptie,
Alimente ce conflit,
Pourquoi l’oligarchie,
ou et la diplomatie,
Alors moi, j’ai écrie,
ce message a minuit,
Ou je décris la vie,
De ce peuple qui subit,
Car sous les bombes, les torpilles,
des enfants ont péri sur le sable jaunie.