Décidément, ce pape est bien égnigmatique... ! Il a également récemment évoqué son règne qui, selon lui, sera court, encore 2 ou 3 ans tout au plus... (étonnant pour quelqu’un qui semble en pleine forme).

Mais le plus grave c’est le schisme qui semble se profiler au Vatican entre les cardinaux progressistes et les conservateurs tout comme au temps de Vatican II. À la tête des progressistes on retrouve le cardinal Kasper (très apprécié par le pape François et très peu par Benoît XVI). Le problème, c’est que le cardinal Kasper a une théologie pour le moins étonnante et même inquiétante ! Dans son livre "Einführung in den Glauben" (Introduction à la foi), il déclare que "les dogmes peuvent être univoques, superficiels, ergoteurs, stupides et précipités". Vis-à-vis de la résurrection du Christ, il affirme "qu’il s’agit non pas d’un trait historique mais d’une figure de style destinée à éveiller l’attention et à créer un suspense"... !

Mais il y a d’autres énigmes révélées par le journaliste et écrivain catholique Antonio Socci, très connu dans le milieu catholique (il a beaucoup publié sur les apparitions mariales, notamment sur Medjugorje) et est souvent invité dans des émissions catholiques tant à la radio qu’à la télévision. Antonio Socci s’étonne de la grossière faute de latin de Benoît XVI lors de sa renonciation solennelle, une toute petite faute de latin mais qui inverse totalement le sens de la phrase et qui, de ce fait, invalide sa renonciation. Étonnant pour ce grand érudit qu’est Benoît XVI maîtrisant parfaitement le latin... ! Étonnante aussi sa réponse quand, suite à toutes ces questions d’Antonio Socci, un vaticaniste, A. Tornielli, se permet d’écrire à Benoît XVI pour qu’il confirme sa renonciation et coupe court à tout soupçon. À la question : pourquoi il gardait son habit de pape, celui-ci a répondu qu’il n’avait pas d’autre garde robe ! Hahurissant !

Pour ceux que cela intéresse lire les prophéties de Ste Catherine Emmerich sur les deux papes au temps de l’Antéchrist ainsi que celles de Maria Valtorta sur la venue de l’Antéchrist. Elle fait un parallèle entre la vie de Jésus et la vie de l’Église au temps de l’Antéchrist, la vie publique de Jésus d’environ 3 ans, sa passion (la tribulation de l’Église et des chrétiens) sa mise à mort, et enfin sa résurrection après 3 jours (ici, j’ai pensé aux 3 jours de nuit dans la prophétie de Padre Pio, mais ce n’est qu’une interprétation personnelle).