C’est bien beau de montrer l’entêtement, voire la connerie, de certains exploitants mais posons-nous la question de savoir comment nourrir notre population avec des méthodes plus saines sans un exode urbain (qui ne semble pas être, croyez-le ou non, un thème très porteur...).
Comment remplacer la chimie sans hommes ? Et qui trouver aux conditions actuelles ? Encore des étrangers ? Vers chez moi, ils en sont aux aztèques ! Des gars d’un mètre soixante-cinq avec des têtes d’adorateurs du serpent à plume, arrivés via l’Espagne. Peut-être que l’on ne commencera à envisager de revoir nos méthodes que lorsque même les derniers des crève-la-faim du Tiers-monde ne voudront plus ramasser nos melons (quoiqu’il y aura toujours les portugais ! Rien ne les arrête !^^)
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