Un petit garçon devenu autiste après avoir reçu 32 vaccins
8 octobre 2014 17:12, par Béchamp"Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout " -Pasteur
Et pourtant aux yeux de l’histoire (et des entreprises pharmaceutiques) c’est Pasteur qui a gagné.
Bon je dois quand même avouer un conflit d’intérêt => étudiant en médecine.
Je ne m’attarderai pas sur l’article qui est plus que douteux sur le plan scientifique (relation cause-effet).
Je préfère vous faire part de mon expérience (je dois l’avouer un peu limitée). Je sors tout juste d’un stage de pédiatrie. D’un naturel plutôt curieux et taquin, j’aime me confronter à l’expérience de mes supérieurs. Plutôt anti-vaccin, ou tout du moins, conscient de la "pagaille" immunologique qui en découle, je suis pour en administrer le moins possible. Mais j’ai du réviser (un peu) mon jugement lorsqu’un urgentiste avec 20 ans de bouteille m’a expliqué qu’avec la démocratisation des vaccins on ne voyait plus (ou presque plus) d’enfant avec des méningites à pneumocoques (Prevenar©), ou des épiglottites à hémophilus b ( présent dans le vaccins polyvalent infanrix quinta ou hexa©) qui sont je le rappelle 2 maladies potentiellement mortelles.
Alors est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Je pense qu’il vaut mieux ne pas jouer avec la vie de ses enfants (et ça malheureusement Big Pharma l’a bien compris, ce qui lui permet de facturer les vaccins à des prix exorbitants)
En fait le vrai problème avec les vaccins, c’est qu’on les fait à des êtres en "bonne santé". C’est à dire que dans une large majorité de cas, aucun bénéfice réel n’est observable (prévention) et pour une minorité, c’est la réaction immuno-allergique (BCGite, Guillain-Barré...)
Il ne faut pas être dupe, l’industrie des vaccins est pour le moins opaque et brasse des sommes colossales, mais on ne peut pas balayer d’un revers de main les effets bénéfiques de la prévention vaccinale (qui je le rappelle est une pratique millénaire)
Pour ce qui est des métaux lourds dans les vaccins (principalement le mercure, composé neurotoxique et néphrotoxique) je ne suis pas assez "calé" sur ce sujet mais les doses me semblent trop faibles et les expositions trop courtes pour induire de réels troubles, mais je me trompe peut-être.
Désolé pour la réponse en vrac. C’est un sujet complexe qu’on ne peut traiter (comme beaucoup de chose dans la vie) d’un point vue purement manichéen.