Trois mois de sursis réclamés ... Ça commence à flipper dans le landernau. Bienvenue dans la VIe République (mais c’est pas celle de Merluchon, hein).
Et l’autre qui se sent "meurtri".
Il suffit juste de se repasser l’émission où il avait reçu Jacques Cheminade pour la campagne des présidentielles 2012 pour comprendre qui est arrogant, et qui devrait se sentir meurtri à bon droit.
Piétiner ainsi la gueule d’un candidat, quoique l’on pense de lui - c’est pour le principe, juste pour le principe -, avec un mépris qui n’est même plus dissimulé, c’est modérément service public. Même les deux autres stipendiées (dont la Fressoz) qui avaient abondamment participé à la curée, étaient gênées à la fin que le petit frisé se lâche dans d’aussi grandes largeurs (et je suis moi-même, petit & frisé, me lâchant à l’occasion).
À ce compte là, moi aussi, je vous promets que je suis journaliste, sans problèmes, je vous fais la lecture des dépêches, le rédactionnel, le travail de vérification des sources, je pose les questions pertinentes, et même je vais sur le terrain et je parle aux gens, à TOUS les gens.
Et je tiens une liste, mais elle est blanche.
Pantalonnade, mascarade, carnaval. Au moins Alain a mis le T-Shirt qui convenait.
Et bien content d’avoir niqué les régies pub (12 et plus) et les mouchards (10) du site qui héberge l’article (désolé, cher François Pinault, tu te factureras une bouteille de champs chez Bygmalion) (ah non, flûte, ils existent plus, c’est ballot).
Mais enfin, retenons qu’Haziza, c’est l’avenir du journalisme bien protégé.