2,5 millions d’enfants américains ont vécu sans domicile fixe en 2013
19 novembre 2014 16:12, par listener
Compte tenu de la loi dite de "l’américanisation maximum", (à savoir que ce qui arrive aux états-unis (prononcer les "zitazinis") se produit inévitablement quelques années après dans ce qu’ils appellent avec le mépris propre à l’odieux yankee, le "Vieux-Continent" (qui est d’ailleurs infiniment plus neuf et rénové que leur pays biblique, archaïque et aux conceptions juridiques figées et superstitieuses), il y a 2,5 millions d’enfants américains sans domicile fixe, ce qui est véritablement intolérable à toute conscience d’homme européen normalement constitué, c’est que cela va arriver joyeusement et glorieusement avec un air d’ineffable "modernité" et d’inévitable déterminisme schumpétérien, (ah ! l’Ecole de Chicago ! ah ! la "Silicon-Valley !") dans nos pays civilisés.
Ceux-ci ont une idée de l’homme qui dépasse celle de leurs gardiens de vaches (cow-boy) et de leurs gangsters, tous ces vieux pays qu’ils ont préalablement et avec soin dévastés et abrutis soigneusement à coups de "soap" et de Disney-Land et de "miousic" ou, quand cela ne prend pas, par la force militaire pure et simple ou par leur capacité invraisemblable à escroquer les "pseudo-élites" européennes ébahies (exemple : la pitoyable "promotion Voltaire" qui a donné à la France Ségolène et François, le couple historique de l’indépassable "modernité" des belles-mères à la française. A force d’admirer son gendre, on finit par oublier la case "mariage" et on finit par fricoter avec une petite actrice de "cinéma" et à laisser passer le "mariage pour tous". "Très bien, puisque cela vient des "zitazunis".