L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert
18 décembre 2014 13:22, par Eldoc
Excellent article. Bravo et merci.
C’est tout cela qui est nauséabond.
La mémoire brûle les ailes de la conscience, en l’occurrence la conscience de la responsabilité de ceux qui ont financé et récolté les fruits des boucheries des guerres mondiales, ceux-ci jamais évoqués car tout se joue autour du devoir de mémoire, qu’il s’agisse des uns ou des autres. Jouer sur l’émotion plutôt que la réflexion est une technique de contrôle de masse bien connue. Or il est parfaitement possible de ne pas oublier nos martyrs (et je parle bien des hommes et femmes de France sacrifiés) tout en gardant de l’objectivité, celle-ci automatiquement rejetée par les créanciers de la mémoire.
Puisque tout le monde veut se prêter à la mémoire, avec une forte prédominance communautaire accusatoire et profiteuse, pourquoi ne jamais évoquer les Malgré-Nous ? Pourquoi avoir mis 68 ans pour les "reconnaitre" et ne jamais les avoir indemnisés (indemnisation prévue par la Fondation Entente et non l’État comme pour certain..., de 1387€) ?!
Y a-t-il compétition victimaire ? C’est moi qui a le plus souffert, pas toi (dit le juif)... On a tous perdu une branche de l’arbre généalogique, et s’en souvenir suffit amplement pour être conscient de nos drames... bref, cette repentance éternelle est inutile, surtout que ce ne sont jamais les responsables qui payent, mais des gens qui n’étaient même pas en l’état de spermatozoïde au moment des faits...