Charlie…Le mur des cons…La fresque dessinée dans la salle de garde de l’hôpital de Clermont-Ferrand…. Trois formes de manifestations de la liberté d’expression à la sauce laïcarde revue et visitée par les maitres des droits-de-l’hommisme, les plus grands terroristes de la planète.
En définitive, pourquoi tout ce ramdam suite aux odieux attentats de Charlie ?
Parce que c’est la défaite idéologique post soixante huitarde, "il est interdit d’interdire", "pas de répressions", "citoyen du monde", le Waterloo de tous les éléments de lavage de cerveaux à la lessive Cohn Bendit.
BADABOUM ! Charlie explosé par ceux qu’ils défendaient politiquement depuis 30 ans, tout en leur crachant à la gueule au nom d’une vision dévoyée et hypocrite du vivre ensemble.
Forcément, ca fait mal.
Mais la république n’est pas la France, les islamistes ne sont pas Frigide Bardot ou Christine Boutin et Charlie l’a payé de sa vie.
"Je suis Charlie", c’est le dernier soubresaut de la gauche libertaire qui a défilé KO debout aux ordres de l’oligarchie soumise aux lobbies dominants, défilé d’émotion bien dérisoire devant le mécontentement du fait religieux, lui-même nettement plus impressionnant que le redressement spéculatif et sondagier de notre pitre national.