Ces gens ne doutent de rien. Ils sont tellement avides de pognons (Ah argent Roi, je te prie ; viens à moi) que la déraison les poussent à commettre de nombreux détournements financiers. Malheureusement, ce peuple veut montrer qu’il a en davantage que ses amis, ses voisins, ses parents : une course de “touche pas à mon fric, vade retro satanas”. Ce n’est pas un mythe mais une triste réalité chez ceux, dénués de tout sens moral, qui ont la folie des grandeurs pour mener grande vie et exhiber leurs richesses au gotha mondain tout en rabaissant le clampin moins fortuné qu’eux.