Dexia : quand l’hôpital public défie l’État
2 mars 2015 18:30, par un pas de plus et on y est
Tous les systèmes mondiaux (politiques, économiques, financiers, sociaux, religieux, culturels etc...) sont en débâcle. La guerre menace du haut de tous les miradors la moindre parcelle de terre ou subsiste un espoir de retour à la raison car en vérité les hommes sont fous.
Les plus audacieux s’engagent avec forces et armées dans des conquêtes sanguinaires au nom de tout car au nom de rien alors qu’Ils dépossèdent pour avoir, qu’ils affament pour se nourrir, qu’ils tuent pour vivre.
D’autres se prétendent contre les uns à l’aurore puis contre les autres au crépuscule et si le ciel leur prête fortune ne sont ils pas de tous les bords comme autant de traitres par une nuit sans lune.
"Les hommes sont fous" cela est faux, le marteau qui tord le clou n’a rien de maladroit, qu’en est il du maître charpentier qui le manipule ? Mais cela est vrai car quiconque agit sans savoir ni comprendre ne bénéficie pas de sa raison, c’est ainsi il y a fort longtemps, que les clous ont appris à lier la chaires au bois.
Il y a les guerres en forme de cercueil et il y a celle en forme de cage.
Ces dernières sont encore les plus sollicitées sous les latitudes tempérées de la république. Puisse t-elle avoir un milliard de chiffres pour se nommer qu’ils ne dissimuleront pas mieux l’imposture que l’imposture elle même.
De là à prétendre que le cercueil vaut mieux qu’une cage à chacun son idée.