La faute aussi à ces millions de beaufs qui ont gobé tout le cirque médiatique et se ruent chez leur libraire dès la sortie de C.H. Parmi ces beaufs, il y a aussi les nouveaux abonnés. Tous ces sombres couillons qui n’étaient pas Charlie avant l’attentat se découvrent Charlie grâce au doucereux chantage-pleurniche-manipulation-à-2-balles des médias.
Certains se font tellement chier qu’ils ont l’impression de revivre en lisant Charlie ; après Les Feux de l’Amour, ils ont trouvé un nouveau biberon. Comme ils sont mignons...
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