Etre une femme aujourd’hui, c’est être un aristocrate, très exactement. Ainsi le fameux "paritarisme" donne à une femme des droits (préséance, priorité, emploi réservé, poste) non du tout en raison de "son talent et de sa vertu" mais en raison de sa simple naissance comme femme. Elle "se donne la peine de naître" femme et a des privilèges.
Les hommes sont donc des roturiers, et constituent un nouveau tiers-état (et qu’on ne dise pas que n’étant "rien", il doit être "tout" comme en 1789 ! Mauvaise pensée !).
Les femmes ... sont des hommes supérieurs. Tout le discours dont les médias dégoulinent sont pleins de cette idée : les femmes sont supérieures aux hommes. Elles sont nulles en football mais elles ont le "droit" de jouer au football et que la télé diffuse leurs matchs affligeants. Elles foutent un bordel incroyable en politique et tout le monde le sait et le voit mais elles ont "droit" d’y foutre leur merde qu’on qualifie d’inspiré par un désir de raffinement. Elles n’ont aucun talent d’écrivain (écrivaine) et ne sont pas du tout inventrices et créatrices mais elle sont le "droit" d’être "académiciennes". D’ailleurs, les tribunaux veillent. Même la langue française est vérolée.
C’est important d’en prendre conscience pour comprendre comment elles fonctionnent et leur effronterie étonnante.. C’est la loi qui le veut ! L’islam peut-il un jour les remettre à leur place et délivrer les hommes de leurs chaînes ? Peut-être mais en pervertissant le rapport subtil entre les hommes et les femmes qui permettait en occident aux hommes de respirer et aux femmes de se croire intéressantes.