Les sales affaires d’Agnès Saal
30 avril 2015 10:57, par MEIERS
Il faut la comprendre. Si elle ne prenait pas le taxi, elle serait obligée, n’ayant pas de permis de conduire, d’emprunter les transports en commun parisiens, comme le pékin moyen. Mais vu le profil, très multiéthnique des passagers des transports en commun, elle risquerait de se retrouver nez à nez(aucun mauvais jeu de mots) avec d’affreux nouveaux jeunes antisémites des banlieues, régulièrement dénoncés par le CRIF, la LICRA et autres. Elle doit tout de même penser prioritairement à sa sécurité quand même !