J’aime bien Boris Le Lay, et je partage même sa sympathie pour le Japon. Ironie de l’histoire : il y a cent ans, les Français avaient peur du péril jaune et faisaient la guerre pour ne pas devenir allemands. S’ils avaient su ce que l’avenir réservait à la France, ils auraient déserté, et ils auraient eu bien raison. Et je dis ça en tant que petit-fils de poilu blessé au combat et décoré.
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