« Toute société qui n’est pas éclairée par des philosophes est trompée par des charlatans. »
MARIE-JEAN ANTOINE NICOLAS DE CARITAT MARQUIS DE CONDORCET – 1743-1794.
Merci Monsieur SORAL d’être de ces nouveaux "philosophes" (pas au sens des Lumières bien entendu) avec toutes celles et tous ceux auxquels E.R. ouvre sa tribune et qui contribuent, non à notre embrigadement, mais à nous permettre d’exercer à nouveau enfin notre intelligence critique. Qui nous aident à nous extraire de ce salmigondis de la pensée politico-médiatique dans lequel nous tentions sans y parvenir toujours de ne pas nous noyer.
Comme l’auteur de ce courrier je suis issu de la classe ouvrière (j’ai 54 ans) et j’ai eu un parcours militant (syndical et politique) que les circonstances de la vie ont interrompu après une vingtaine d’années d’engagement intensif. Comme lui j’ai trouvé dans la dissidence l’écho et les développements qui manquaient à ma pensée, pourtant entraînée, pour dégager de la situation générale depuis des années, ma compréhension du monde actuel. Une compréhension qui satisfasse à l’exigence que j’avais de ne pas seulement croire mais de savoir pour ne plus désespérer. Au travers "comprendre l’empire" notamment puis avec l’apport de l’ensemble des contributions proposées par tous les collaborateur d’E.R. sur le site mais aussi par l’écoute des conférences de Pierre Hilard, Marion Sigault et bien d’autres, je suis parvenu à reprendre possession de l’organisation de ma pensée pour la conduire à s’agencer historiquement, politiquement, jusqu’à pouvoir lui restituer sa capacité d’examen critique et intelligible pour moi du monde. Je souhaitais donc adresser à toutes et tous les "philosophes" de la dissidence, au-delà des quelques noms cités, l’expression de ma gratitude et mon fraternel salut.
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