Tous ces chiffres sont du flan.
Le problème, ce ne sont pas les taux de prélèvement légaux, ce sont les taux de prélèvement réels : il n’y a, dans les faits, quasiment pas d’impôts en Grèce.
Quand aux réductions de dépenses... Elles sont justes ridicules.

Ce cirque arrange tout le monde : les Grecs qui pourront continuer à nous enfiler, l’UE qui envoie un message de "fermeté" aux Espagnols qui votent bientôt, aux Portugais, aux Italiens et qui conserve tout ce petit monde dans son giron...
Arnaque à six mains : j’oubliais le rôle des US dans l’affaire : conserver la Grèce côté Ouest, ne pas donner de débouchés aux Russes sur la Méditerranée.