La mondialisation peut faire « l’économie » du fascisme, car l’impérialisme est déjà achevé. Au contraire l’anti-racisme, l’anti-fascisme peuvent être invoqués par le néo-fascisme, et assoir le mondialisme. Le droitdelhommisme écrase l’éthique du producteur, et la crise plus où moins suivant le développement.
Le nihilisme mondain (le gode-bébé dans les ergastules d’utérus), le libéralisme corsetant le travail, la surpopulation et son surnuméraire, sont les vrais facteurs imparables du néo-fascisme gôôôchiste.
L’immortalité pour les Seigneurs en sera le couronnement, le nouvel inconscient de l’hyper-classe.
« Cet égalitarisme de la différence autorise un autre système de hiérarchies. Alors qu’il prétend dépasser les hiérarchies de classes, il les renforce par les hiérarchies mondaines. À chaque moment, un signe signifie barrière et niveau. Cascade des différences, cascade des mépris, cascade des snobismes. » Clouscard
« En dissolvant les nationalités, l’économie libérale fit de son mieux pour généraliser l’hostilité, pour convertir l’humanité en une horde de bêtes féroces – les concurrents sont-ils autre chose ? – qui se dévorent mutuellement parce que les intérêts de chacun sont égaux à ceux de tous les autres. Après ce travail préliminaire, il ne restait plus à l’économie libérale qu’un pas à faire pour atteindre son but : il lui fallait encore dissoudre la famille »
’Esquisse d’une critique de l’économie politique’ Engels