On est croyant parce qu’on est disposé à l’être, par une sorte d’interaction avec le créateur dans des moments de sa vie favorables, par la prière formelle ou non, grâce à des réponses qu’il apporte et qu’on est capable de comprendre pour certains d’entre nous...chacun sa vision singulière dans ce domaine me semble-s’il.
Les athées ne vivant jamais ce type d’expérience ne faut-il pas admettre que sur ce sujet la discussion est inexorablement stérile ?
Une éducation religieuse dans un environnement favorable sert de révélateur. La France actuelle n’est en rien (ou pas grand chose) un environnement favorisant l’adhésion à la fois chrétienne. A moins de protéger ses gosses de la voracité du système en leur offrant des nourritures intellectuelles et spirituelles de qualité diificile de les soustraire à la pieuvre athéiste droit de l’hommiste et genriste. Seule une famille ancrée dans des traditions fortes est armée pour maintenir le clan dans des habitudes saines d’amour, de compassion et de confiance en la destinée.
La difficulté propre aux musulmans réside dans la non adaptation d’un certains nombre de ses traditions aux réalités occidentales (coutumes, rapports hommes-femmes). La dimension hautement spirituelle de cette religion est potentiellement une porte de salut pour ses adeptes, encore faut-il qu’ils se délestent d’un ego collectif issu d’une rancoeur envers l’ancien colon pratique mais contreproductive.
Mais c’est pas gagné.
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