Et revoilà les gaucho-humanitaristes dans la rue – pour reprendre le titre d’un récent article de la revue national-bolchevik Rébellion !
Nous disons donc plus de 100 organisations pour 5 500 manifestants à Paris (la capitale compte 2 millions de personnes intra-muros) : faites la division...
J’ai vu des bobos, des francs-maçons, des gauchistes hors-sol (certes, tous les gauchistes sont hors-sol...), sans oublier les « décoloniaux » anti-français du Parti des indigènes de la République, mais PERSONNE des quartiers populaires.
Bien entendu, les groupes mondialistes/pro-immigration étaient bien représentés (le GISTI et autres lobbys subventionnés par les libéraux). Il faut dire que le vent tourne en Europe...
J’ai aussi noté la présence du Syndicat de la magistrature, vous savez celui dont un membre fondateur, le substitut Oswald Baudot de Marseille, déclarait en 1974 : « Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour l’écrasé contre la compagnie d’assurance de l’écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice. » (le texte intégral est disponible sur le site de la Ligue des droits de l’homme de Toulon, si si).
Bref, un agrégat de groupes moribonds, qui à défaut d’avoir une base populaire, a une fois de plus joué la carte des réseaux (loges, presse, etc.), sans succès cette foi.
L’échec de ces clowns est patent et annonce le retour de l’idée nationale.